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1 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre VI : Règles relatives à l’administration de la preuve »
ent être que des sciences expérimentales. Il n’y a donc pas de raison pour que ses critiques soient mieux fondées en ce qui conc
as que l’on cite et où l’on prétend observer une pluralité de causes, pour qu’ ils fussent démonstratifs, il faudrait avoir établ
mportant de lois, les phénomènes sociaux sont beaucoup trop complexes pour que , dans un cas donné, on puisse exactement retranch
ico-chimiques et même les sciences biologiques s’en rapprochent assez pour que , dans un grand nombre de cas, la démonstration pu
tout autrement de la méthode des variations concomitantes. En effet, pour qu’ elle soit démonstrative, il n’est pas nécessaire q
tre. La manière dont un phénomène se développe en exprime la nature ; pour que deux développements se correspondent, il faut qu’
e deux faits ou s’accompagnent ou s’excluent très généralement. Mais, pour que cette constatation ait une valeur scientifique, i
es énumérations incomplètes, ni à de ces observations superficielles. Pour qu’ elle donne des résultats, quelques faits suffisent
en outre, que cette évolution qu’elles figurent soit assez prolongée pour que le sens n’en soit pas douteux. III Mais la
2 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 193-236
cer le désespoir à vos pauvres parents ! Fior d’Aliza, venez avec moi pour qu’ ils ne meurent pas sous le coup ; vous leur rester
Je ne dormis pas non plus, mais je priai pendant la nuit tout entière pour que mon bon ange et ma patronne intercédassent auprès
our que mon bon ange et ma patronne intercédassent auprès de Dieu, et pour que le jour suivant me fît sa sposa, et pour qu’ils m
ssent auprès de Dieu, et pour que le jour suivant me fît sa sposa, et pour qu’ ils me donnassent le surlendemain, jour fixé pour
es blonds cheveux et je me regardai au miroir à la lueur de ma lampe, pour que ce jour-là, du moins, je fusse un peu belle pour
eur bras, sans voir et sans entendre. Je mis mon doigt sur mes lèvres pour que le vieillard et l’enfant ne réveillassent pas le
nt pas le bargello ; vous savez que j’avais assez mérité sa confiance pour qu’ il me laissât la clef du préau. Je fis entrer le p
à la chapelle, je rétablis vite le barreau de la fenêtre à sa place, pour qu’ on ne s’aperçût pas qu’il avait été déplacé ; puis
CCLXII Pour moi, elle me confia à la grande maîtresse du palais, pour qu’ elle me fît recevoir au couvent des Madeleines à L
eil jusqu’à son coucher, mon mezaro rabattu et refermé sur mon visage pour que les passants ne m’embarrassent pas de leurs rires
on mezaro, et chargea la sœur portière de faire enchaîner les chiens, pour qu’ ils ne me mordissent pas pendant cette première nu
3 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des recueils poétiques — Préface des « Feuilles d’automne » (1831) »
e le reste a la sienne. Parce que la terre tremble, est-ce une raison pour qu’ il ne marche pas ? Voyez le seizième siècle. C’est
’à leur tour aussi d’autres nouveautés surgissent dans ces décombres, pour que l’art, cette chose éternelle, ne continue pas de
rons, parce que nous avons trop de Mirabeaux, ce n’est pas une raison pour que nous n’ayons pas, dans quelque coin obscur, un po
toujours le cœur humain ; la base de l’art, comme elle de la nature. Pour que l’art fût détruit, il faudrait donc commencer par
pas trop absorbées par l’œuvre sociale qu’elles élaborent en commun, pour que le lever de cette sereine étoile de poésie fasse
e le vent, comme on dit, n’est pas à la poésie, ce n’est pas un motif pour que la poésie ne prenne pas son vol. Tout au contrair
4 (1911) La valeur de la science « Première partie : Les sciences mathématiques — Chapitre IV. L’espace et ses trois dimensions. »
ont trop voisins l’un de l’autre, et que nos sens sont trop grossiers pour que nous puissions les distinguer) et nous constatons
point occupé par A à l’instant α. Je viens d’énoncer deux conditions pour que ces deux points soient identiques ; l’une est rel
A ; soit M′ le point de l’espace occupé à l’instant β par le corps B. Pour que ce corps B forme son image en O, il n’est pas néc
jets forment leur image en O est donc nécessaire, mais non suffisante pour que les points M et M′ coïncident. Soit maintenant P
α, B le touche à l’instant β, est à la fois nécessaire et suffisante pour que M et M′ coïncident. Mais nous qui ne savons pas e
nt déjà la géométrie raisonneraient comme il suit. Il y a des chances pour que l’objet A n’ait pas bougé entre les instants α et
il suffit que le critère relatif à l’un de mes doigts soit satisfait pour que tous les autres le soient, mais il ne suffit pas
e souvent, mais pas toujours. Mais il suffit qu’elle persiste souvent pour que les séries σ nous apparaissent comme remarquables
e souvent pour que les séries σ nous apparaissent comme remarquables, pour que nous soyons amenés à ranger dans une même classe
M ainsi définis comme se correspondant. Qu’est-ce qui m’y autorise ? Pour que cette correspondance soit admissible, il faut que
, nos opérations sont associatives, mais non commutatives. Cela posé, pour que Σ et Σ′ correspondent à un même point M = M′ du p
e qu’il est commode de donner à l’espace géométrique trois dimensions pour qu’ il en ait autant que l’espace représentatif. La qu
i, en effet, j’ai bien compris la théorie, il me suffira de l’exposer pour qu’ on comprenne qu’il est impossible de concevoir une
5 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre III : Règles relatives à la distinction du normal et du pathologique »
l on la veut définir. N’y a-t-il pas nombre d’affections trop légères pour que nous puissions leur attribuer une influence sensi
onstituer et à isoler de tous les autres, comme il serait nécessaire, pour que l’on pût observer la constitution organique dont
ment dans toutes les sociétés du même type, sont beaucoup trop variés pour qu’ il soit possible de déterminer dans quelle mesure
etit nombre d’individus, le champ des comparaisons est trop restreint pour que des groupements de ce genre soient démonstratifs.
te société saine. Ce résultat est, au premier abord, assez surprenant pour qu’ il nous ait nous-même déconcerté et pendant longte
ments collectifs, doués d’une énergie et d’une netteté particulières. Pour que , dans une société donnée, les actes réputés crimi
de la criminalité en ouvrirait immédiatement de nouvelles. En effet, pour que les sentiments collectifs que protège le droit pé
mposer aux individus qui, naguère, leur étaient le plus réfractaires. Pour que les meurtriers disparaissent, il faut que l’horre
type si les conditions de l’existence collective se modifient. Mais, pour que ces transformations soient possibles, il faut que
la main et elle se figerait trop facilement sous une forme immuable. Pour qu’ elle puisse évoluer, il faut que l’originalité ind
er, il faut que l’originalité individuelle puisse se faire jour ; or, pour que celle de l’idéaliste qui rêve de dépasser son siè
cher au-dedans de soi les matériaux nécessaires pour la reconstruire. Pour que la sociologie traite les faits comme des choses,
nous avons établies jusqu’à présent sont donc étroitement solidaires. Pour que la sociologie soit vraiment une science de choses
e santé est déjà assez difficile à réaliser et assez rarement atteint pour que nous ne nous travaillions pas l’imagination à che
6 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre II. La qualité des unités sociales. Homogénéité et hétérogénéité »
ispose les sociétés à accepter les idées égalitaires. Ne faut-il pas, pour que nous traitions un homme en égal, d’abord qu’il pu
rieures qu’intérieures, sont aussi ceux, où il y a le plus de chances pour qu’ ils se considèrent comme égaux en droit ? Bien loi
l, dans un groupe absolument homogène est, par définition trop chargé pour que la combinaison des traits de toute sorte qui le c
lle du prix de l’individualité. Il y a, d’ailleurs, plus d’une raison pour que , dans les groupes très homogènes, les droits prop
justement — implique celle d’une opposition de prétentions. Il faut, pour que nous pensions à équilibrer leurs prétentions qui
divisées, et plus ils sont unis. — Mais plus il importe du même coup, pour que cette union dure, qu’ils se traitent en égaux. La
nt plus rien de commun sont aussi celles où il y a le plus de chances pour qu’ ils se considèrent comme égaux en droit ? Le parad
n une solidarité autre, qui naît précisément de leurs ressemblances «  Pour que les unités sociales puissent se différencier, il
es en vertu des ressemblances qu’elles présentent118. » Ajoutons que pour qu’ elles veuillent rester groupées et cherchent un or
es crânes augmente ; mais les observations ne sont pas assez étendues pour que la loi soit incontestée. Suivant M. Le Bon 130, l
que, plus les éléments générateurs diffèrent, plus il y a de chances pour que leurs produits soient originaux. Weismann, de ce
ividus en rapport sont trop nombreux et leurs rapports trop fréquents pour qu’ on puisse espérer, ou craindre de si tôt un arrêt,
7 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVII. De la littérature allemande » pp. 339-365
eux sont trop contraires aux plus simples notions de la philosophie, pour qu’ ils puissent en rien y soumettre leur raison. Les
Il n’y a rien d’assez grand ni d’assez libre dans les gouvernements, pour que les philosophes puissent préférer les jouissances
ssources : il faut que la société jette ses poisons dans la blessure, pour que la raison soit tout à fait altérée, et que la mor
fait voir à quel degré de sensibilité l’ébranlement devient trop fort pour qu’ on puisse soutenir les événements même les plus na
alyse sa profondeur, au roman son intérêt en les réunissant ensemble. Pour que les événements inventés vous captivent, il faut q
captivent, il faut qu’ils se succèdent avec une rapidité dramatique ; pour que les raisonnements amènent la conviction, il faut
dont on veut faire une secte ; l’esprit humain marche trop lentement, pour qu’ une suite quelconque d’idées justes puisse être tr
8 (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Eugène Sue » pp. 16-26
lgré cette fin d’un homme qui meurt en prenant toutes ses précautions pour qu’ on s’en aperçoive et pour que la charité des gens
meurt en prenant toutes ses précautions pour qu’on s’en aperçoive et pour que la charité des gens de bien ne puisse calomnier s
poraine élèveront-ils une statue à un écrivain qui a bien assez écrit pour que beaucoup d’esprits le croient un colosse ? Il en
humaine, les œuvres littéraires doivent avoir un style pour durer et pour que la Postérité s’en soucie. Au bout seulement de qu
c’était l’applaudissement des convives. Il donnait à boire à ses gens pour qu’ ils fissent tapage et porter haut son nom, et il l
9 (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — VII. La fausse fiancée »
d et, en échange, celle-ci versa de l’eau plein une coquille d’huître pour qu’ elle put se désaltérer un peu. Plus loin, Dêdé épr
oi petit de griote. Le jour que mon père m’a donnée au massa148 C’est pour que je sois celle qui couche avec le roi. Le jour que
qui couche avec le roi. Le jour que ma mère m’a donnée au massa C’est pour que je sois celle qui couche avec le roi Tais-toi pet
10 (1911) La valeur de la science « Troisième partie : La valeur objective de la science — Chapitre XI. La Science et la Réalité. »
exigeait à la fois tant de conditions, il y aurait bien peu de chance pour qu’ à aucun moment elles fussent jamais toutes réalisé
de ne pas me tromper, car je sais que ces étoiles sont trop éloignées pour que leur action soit sensible. J’annonce alors avec u
est clair que les lois actuelles ne seront jamais assez bien connues pour qu’ on ne puisse adopter la première de ces deux solut
reille évolution ; admettons, si l’on veut, que l’humanité dure assez pour que cette évolution puisse avoir des témoins. Le même
aire. Mais réduit à ces termes ce principe ne pourrait servir à rien. Pour qu’ on pût dire que le même antécédent s’est reproduit
ri ; mais c’est une question de fait, et la science a déjà assez vécu pour qu’ en interrogeant son histoire, on puisse savoir si
yer notre place au spectacle, mais c’est pour voir ; ou tout au moins pour que d’autres voient un jour. Tout ce qui n’est pas pe
11 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXVIIIe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 65-128
e mit à tirer, de temps en temps, un coup de son arme à feu en l’air, pour que la détonation et la fumée attirassent les sbires
ère des douceurs qu’il trouvait dans son jeune camarade de chaîne, et pour qu’ on ne punît pas le vieillard de l’évasion du jeune
ue je pouvais les larges bords de mon chapeau calabrais sur mes yeux, pour que l’ombre étendue du chapeau empêchât aussi le pauv
au ; puis, avançons en jouant plus fort des airs à nous seuls connus, pour qu’ il ne doute plus que c’est bien moi et que, de pas
ivée au mur dans le fond de la prison ; elle était juste assez longue pour que le bout de nos doigts, mais non pas nos lèvres, p
osse clef de la prison, de me procurer une lime et de la lui apporter pour qu’ il sciât sa chaîne, de lui ouvrir moi-même du deho
es, et que s’il n’avait rien osé dire encore à sa mère et à son oncle pour qu’ on nous fiançât ensemble à San Stefano, c’était à
arches du cloître et de la cour, vis-à-vis du puits des colombes, et, pour que personne ne se doutât de rien parmi les prisonnie
et du maïs sucré sur le bord de ma fenêtre, et je la lâcherai ensuite pour qu’ elle rejoigne ses compagnes dans la cour ; tu la r
nnière. — Est-ce que vous ne donneriez pas beaucoup, lui demandai-je, pour que votre petit eût deux tasses de lait au lieu d’une
ison, la belle innocente ! Oh ! laissez-moi descendre vite à la ville pour qu’ on me la rende avant qu’elle ait été salie dans so
12 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre III. Les explications anthropologique, idéologique, sociologique »
irconstances où elles se rencontrent, et plus aussi il y a de chances pour qu’ elles cachent des rapports nécessaires, toutefois,
couverte scientifique47. Mais n’y a-t-il pas les plus grandes chances pour que sa part contributive soit au maximum dans la cons
et les initiés une communauté préalable d’aspirations est nécessaire pour que la conversion de ceux-ci — par celui-là soit autr
ité légale n’a pu encore s’imposer aux mœurs dans l’Empire ottoman51. Pour qu’ une idée pénètre une société, il faut qu’il y ait,
aison suffisante : nous ne la posons que comme une de ses conditions. Pour qu’ il se produise forcément, d’autres doivent être do
u’une science de tendances et d’influences. Mais au moins, dira-t-on, pour que vous puissiez induire les tendances et les influe
13 (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Appendice. — [Baudelaire.] » pp. 528-529
lus souvent, en deux ou trois endroits bien distincts, cela eût suffi pour que votre pensée se dégageât, pour que tous ces rêves
its bien distincts, cela eût suffi pour que votre pensée se dégageât, pour que tous ces rêves du mal, toutes ces formes obscures
un croc-en-jambe, mon cher ami, et de vous jeter brusquement à l’eau, pour que vous, qui savez nager, vous alliez désormais sous
14 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Préface »
trancher toutes ces questions d’après les suggestions du sens commun pour que nous puissions facilement le tenir à distance des
ence d’une criminalité, ni moins indispensable à la santé collective. Pour qu’ il n’y eût pas de crimes, il faudrait un nivelleme
isons qu’on trouvera plus loin, n’est ni possible ni désirable ; mais pour qu’ il n’y eût pas de répression, il faudrait une abse
15 (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre iii »
le militaire et la médaille anglaise. « Prie Dieu, écrit-il à un ami, pour que je porte allègrement la croix qui donne droit à l
rtir pour l’action, le jour même de sa mort, écrit : « J’offre ma vie pour que se dissipent les malentendus qui existent entre l
stant des blessés, offre sa vie « pour ses compagnons d’armes du 86e, pour que tant d’hommes droits et bons à qui il ne manque p
e : « C’est une responsabilité, tu sais, ma compagnie : prie beaucoup pour que ton pauvre mari soit à la hauteur de la tâche et
a vie de plusieurs. Ils auront les yeux fixés sur moi. Prie donc bien pour que je sois à la hauteur et que je donne l’exemple ;
sois à la hauteur et que je donne l’exemple ; et, ensuite, tu prieras pour que , si c’est la volonté de Dieu, nous puissions nous
es siens au deuil : « Prie le bon Dieu bien fort, chère petite femme, pour que le grand déclanchement qui ne peut tarder beaucou
16 (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Le père Augustin Theiner »
ètes du Vatican, traduite au même moment en trois langues différentes pour qu’ elle ait son triple retentissement simultané, ce l
tions qui ont fait ressembler l’Europe à la terre rompue d’un volcan, pour que la supposition d’un tel fait puisse être traitée
le respect de la catholicité qui l’accuse, il n’aura pas assez réussi pour que , du haut de ses deux immenses volumes, piédestal
par l’abolition qu’il consentit ou qu’il voulut, puisqu’il la signa, pour que Crétineau-Joly n’ait besoin de rien ajouter à cet
e Crétineau-Joly n’ait besoin de rien ajouter à cette flétrissure, et pour que le P. Theiner ne puisse l’effacer.
17 (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « De Cormenin (Timon) » pp. 179-190
fond de sa pensée et qui ne passaient pas assez vite dans ses organes pour qu’ il les dardât de la tribune à ses adversaires, il
qui est le style de Cormenin et des Orateurs ; mais j’en ai dit assez pour qu’ on en ait l’idée et pour qu’on perde celle qu’on a
et des Orateurs ; mais j’en ai dit assez pour qu’on en ait l’idée et pour qu’ on perde celle qu’on avait jusqu’ici gardée de lui
t si, par hasard, il en avait eu le figuier, il ne l’aurait pas gardé pour qu’ on s’y pendit, mais pour en faire manger les figue
18 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre III. Mme Sophie Gay »
ire qui l’atteste, en affirmant qu’il ne faut rien moins que du génie pour qu’ une femme se fonde une réputation durable, en écri
nterie, et le rire de cette moqueuse n’est ni assez amer ni assez gai pour que nous puissions lui pardonner les mensonges et les
our cette raison, font rechercher par le monde ceux qui les possèdent pour qu’ on puisse agréablement se moquer d’eux. Telle est,
n pinceau que des ridicules, il faut les faire vivre le plus possible pour qu’ on les voie bien ; il faut leur donner la couleur
19 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Première partie — Chapitre I. Définition des idées égalitaires »
uel, mais une sorte d’impératif, à la fois sentimental et actif. Mais pour que nous pensions à traiter, conformément à cet impér
pre, et que par suite tous les hommes ont des droits. Encore faut-il, pour que nous étendions à tous les individus quels qu’ils
itarisme est « proportionnalité », non « uniformité ». Et sans doute, pour que l’inégalité des sanctions fût exactement proporti
20 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Henri de L’Épinois » pp. 83-97
dait et l’aumône y tombait. Elle n’avait pas même besoin de la tendre pour qu’ elle y tombât, spontanément offerte qu’elle était,
gine de la société chrétienne, tant il est nécessaire à cette société pour qu’ elle soit, et tant, sans ce pouvoir temporel, il e
ecte pas, mais que naturellement il possède. Double raison, du reste, pour que ce livre n’ait pas mordu sur la pensée contempora
us le voyez ! il a fallu l’accident d’un des derniers poèmes de Hugo, pour que j’allasse chercher dans son désert cet érudit mus
21 (1902) Les œuvres et les hommes. Le roman contemporain. XVIII « Ferdinand Fabre »
Ferdinand Fabre est de ceux-là ! Il est trop penseur et trop artiste pour que le type du prêtre ne l’attire pas, et il l’a, je
’a empêché d’accomplir un mouvement qu’il fallait pousser à outrance, pour qu’ il fût très beau. Eh bien, je le regrette, Ferdina
istinctement un crucifix ! L’esprit moderne nous rabougrit donc tous, pour que les forts, les bien portants, les bien organisés,
lques années, car il ne faut que quelques années de moins sur la tête pour qu’ un sot se fasse méprisant : « Ne nous opposons pas
22 (1910) Rousseau contre Molière
isi par Dubois ; ou plutôt qu’il est admirablement choisi par Molière pour qu’ Alceste, les nerfs tendus, passe sa colère sur son
nté par Molière, pour rendre Alceste ridicule, ce que Molière invente pour qu’ il ne le soit pas. Si Molière, comme Rousseau le v
nt une très forte affectation ; et encore il est détaché suffisamment pour que les moyens ordinaires que l’on a pour capter un h
ne s’en plaint pas dès qu’il en souffre et il suffit qu’il en souffre pour qu’ il ne s’en plaigne pas. Il est bien bizarre, au mo
e, ce que je crois avoir démontré, mais a pris d’extrêmes précautions pour qu’ on ne le prît pas pour tel et pour que l’on ne s’y
s a pris d’extrêmes précautions pour qu’on ne le prît pas pour tel et pour que l’on ne s’y trompât point. Rousseau nous dit : « 
Racine avait pris des précautions assez véhémentes, si je puis dire, pour que quelques-uns aient pris Andromaque pour ce qu’ell
ans son dessein de le donner pour tel, il a multiplié les précautions pour que l’on ne s’y méprît point, si qu’on ne s’y méprît
de. » Sans doute ; mais je parle des précautions que Molière a prises pour qu’ on ne se trompât point sur son personnage, et vous
ue je considère maintenant comme des précautions que Molière a prises pour que l’on ne pût, décidément, pas tenir Philinte pour
e Philinte serait de le laisser aller, soit avec Célimène, soit seul, pour qu’ Eliante se trouvât en face du seul Philinte. Or, à
qu’il en a une autre qui est urgente. Un homme a mis entre ses mains, pour qu’ il le donne à un procureur à fin de poursuites, un
il faut le conserver sans le passer à d’autres. On n’en a jamais trop pour que de toute part On aille l’employer et l’user au ha
, ils sont excellents. Fabre voit gros ; mais ce n’est pas une raison pour qu’ il voie faux, et même c’en est une pour qu’il voie
is ce n’est pas une raison pour qu’il voie faux, et même c’en est une pour qu’ il voie juste. Il peint un égoïste à l’état forcen
u’il les a prises, Rousseau aurait dû tenir un peu compte. Sans doute pour que le public ne pût pas dire, même par erreur : « Vo
oue. Molière n’est donc pas du côté des scélérats, et il ne fait rien pour que le public soit de leur côté, et il fait quelque c
t rien pour que le public soit de leur côté, et il fait quelque chose pour que , sans être avec le bourgeois gentilhomme, il ne s
les inventez mauvais ! Votre devoir est de les inventer merveilleux, pour qu’ ils servent de modèles aux hommes réels. — Mais ce
u’il aime la ressemblance avec la vie : enfin et surtout, à mon avis, pour que l’on voie, à ne pas s’y tromper, qui il vise : or
tous les vices et tous les ridicules encore s’il se peut. Il le faut pour qu’ à les peindre, Molière assouvisse sa haine contre
qu’à les peindre, Molière assouvisse sa haine contre lui. Il le faut pour que Molière le fasse détester, maudire, mépriser et m
s parce qu’ils sont les dupes des méchants, Et qu’ils sont trop niais pour qu’ on pût les defendre Des pièges que l’on voit les s
honnête homme et si sage. Je vois, tout compte fait, plus de raisons pour que Rousseau ménage Tartuffe, qu’il n’y en aurait pou
lus de raisons pour que Rousseau ménage Tartuffe, qu’il n’y en aurait pour qu’ il l’attaquât.   Je dirai, comme on pense bien, tr
du Malade imaginaire négligé par Rousseau. Il y avait peu de raisons pour que Rousseau y songeât ; car ce n’est qu’une farce ;
ousseau y songeât ; car ce n’est qu’une farce ; il n’y en avait guère pour qu’ il l’attaquât. Molière s’y moque des médecins que
la précaution de le dire. Il en a l’air, et cela suffit. Cela suffît pour que l’on craigne que le public ne remporte une impres
torturer les sots, il montre aux sots les coquins exploitant les sots pour que les sots se tiennent sur leurs gardes. Il est un
ands vices et souhaitant aux hommes des vices et des vertus tempérés, pour que vices et vertus soient tolérables : « il fait con
est un amoureux de la vertu, cela a été assez dit dans ce qui précède pour que je n’y insiste point ; mais notez-le bien, il est
donc fondés à croire que la scène tout au moins n’est pas assez nette pour qu’ on puisse assurer que dans l’esprit de l’auteur le
et ce que Brunetière aurait dû dire sans aller plus loin, c’est que, pour que la thèse de Cléante eût valu et pour qu’elle parû
aller plus loin, c’est que, pour que la thèse de Cléante eût valu et pour qu’ elle parût être celle véritablement de l’auteur, i
nt pas pieux et que Molière, qui avait intérêt pour sa démonstration, pour qu’ elle fût inattaquable, à les faire tels, n’y a pas
Arnolphe, vieux relativement à Agnès, l’a laissée ignorante et idiote pour qu’ elle l’aimât. Mais, non point pour être aimé, mais
elles dépendent de nous et par leurs désirs et par leurs besoins ; … pour qu’ elles aient le nécessaire, pour qu’elles soient da
rs désirs et par leurs besoins ; … pour qu’elles aient le nécessaire, pour qu’ elles soient dans leur état, il faut que nous le l
son éducation devant être relative à l’homme, il n’y a aucune raison pour que la femme soit instruite et il y en a de nombreuse
ne raison pour que la femme soit instruite et il y en a de nombreuses pour qu’ elle ne le soit point. En conséquence, pour commen
mme elle, est morte de cette lecture. Pourquoi cette inculture ? Mais pour que la jeune fille soit réservée à la culture de son
l’homme, le mieux est qu’on n’enseigne rien du tout à la jeune fille pour que l’homme, d’abord ne soit pas, ou blessé par une s
oute l’éducation de la femme doit être relative au futur mari, c’est, pour que le mari ne soit pas cocu, toute la connaissance e
Que peut désirer un mari de moyen état ? Que sa femme ne sache rien, pour qu’ il ne lui apprenne que ce qu’il lui plaira qu’elle
ce qu’il lui plaira qu’elle sache, et surtout, ce qui est sa terreur, pour qu’ elle n’en sache pas plus que lui ; que sa femme so
n, assez grands pour charmer les réunions de famille, assez médiocres pour que la femme ne songe pas à briller devant un cercle
e d’ordinaire il aimé si peu qu’il suffit que celui-ci soit d’un avis pour qu’ il soit d’un autre ? Parce que Rousseau, pareil en
d on le cite, oubliant que c’est la base même de son raisonnement. Or pour que ce que je viens de transcrire soit probant, il fa
il pas l’homme qui veut se décrasser et se faire des relations belles pour que l’on parle de lui dans la Chambre du Roi, et n’y
s présomptueux, des charlatans et des pédants ; cela suffit à Molière pour qu’ il se moque d’eux et à moi pour comprendre pourquo
23 (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Vandeputte, Henri (1877-1952) »
une sensibilité délicate et puérile, faut-il encore avoir assez d’art pour que leur expression puisse prétendre à quelque beauté
lque harmonie. M. Van de Putte manque trop souvent de goût artistique pour que ses poèmes atteignent à la perfection qu’on leur
24 (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Avertissement »
de pente à laisser leur mémoire faire la tâche de leur intelligence, pour qu’ on leur offre encore ici cette tentation. Peut-êtr
il écrit d’une certaine façon ; donner le branle enfin à leur pensée, pour que , s’élevant au-dessus de l’empirisme, ils cherchen
hent et conçoivent la nature et les lois générales de l’art d’écrire, pour qu’ ils développent en eux le sens critique, et que, m
25 (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « Le Marquis Eudes de M*** »
Voltaire, et fait de Lucifer tombé un diable grotesque, trop comique pour que l’on y crût. Éternelle frivolité de l’homme ! L’é
… Il fallait donc ce hasard d’un jeune homme insurgé en pleine église pour qu’ un penseur et un observateur catholique qui se tro
on, cette occasion qui incline le génie du côté où il doit verser, et pour qu’ il prouvât, au bout de vingt ans, à la science sou
scussions auxquelles il se livre comme l’Esprit dormait sur les eaux, pour que la risée qui peut accueillir sa thèse soit bien f
26 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre III. La complication des sociétés »
e de différenciation, et par suite l’absence de complication sociale. Pour qu’ une société soit compliquée, c’est-à-dire pour que
mplication sociale. Pour qu’une société soit compliquée, c’est-à-dire pour que des groupements partiels s’y entrecroisent, il fa
enrégimentent peuvent être satisfaits, alors il n’y a pas de raisons pour que les individus s’affilient à plusieurs groupes à l
ments distingués seront entrecroisés, plus aussi il y aura de chances pour que , entre les individus agglomérés, les contacts se
e les individus agglomérés, les contacts se multiplient, c’est-à-dire pour que la densité sociale augmente. On pourrait donc dir
us les sociétés entrecroisées sont nombreuses, plus il y a de chances pour qu’ il s’en trouve, dans le nombre, qui fassent profes
tädtische Luft macht frei182. » D’ailleurs, il n’est pas nécessaire, pour que l’entrecroisement des sociétés aide au succès de
27 (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXIe entretien. Conversations de Goethe, par Eckermann (3e partie) » pp. 5-96
ant, oui, c’était là un beau temps ! Mais chassons-le de notre esprit pour que les jours brumeux et ternes du temps présent ne n
urtout parce qu’il y trouvera la méthode qu’un bon esprit doit suivre pour que la nature lui livre ses secrets. — Ainsi tous les
aires, a-t-il dit, sont trop généralement répandues depuis un siècle, pour que je puisse espérer trouver quelqu’un qui marche av
é de cinquante ans. Il me dit : « Je me force au travail ; il le faut pour que je conserve le dessus, et que je supporte cette s
ivilisation, former les esprits, et surtout dans les classes élevées, pour que notre nation, bien loin de rester en arrière, pré
ion, bien loin de rester en arrière, précède tous les autres peuples, pour que son âme ne languisse pas, mais reste toujours viv
our que son âme ne languisse pas, mais reste toujours vive et active, pour que notre race ne tombe pas dans l’abattement et dans
Français l’avaient quittée ? Le sommeil du peuple était trop profond pour que les secousses même les plus fortes puissent aujou
Aujourd’hui j’ai fait coudre tout le manuscrit de la seconde partie, pour que mes yeux puissent la bien voir. — J’ai rempli de
rité de la révélation divine est beaucoup trop pure et trop éclatante pour qu’ elle convienne aux pauvres et faibles hommes, et,
p éclatante pour qu’elle convienne aux pauvres et faibles hommes, et, pour qu’ ils puissent la supporter, l’Église vient comme mé
mme médiatrice bienfaisante ; elle éteint, elle adoucit cette lumière pour qu’ elle puisse aider et protéger beaucoup d’hommes. L
28 (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIe Entretien. Le 16 juillet 1857, ou œuvres et caractère de Béranger » pp. 161-252
le : n’importe ; elle donnerait un des morceaux de pain de la famille pour que cet homme, pour ainsi dire collectif, respirât un
ussent les rues être trop étroites, à la suite de son convoi, non pas pour que la famille du vieillard note la présence d’un mil
te la présence d’un million de visages anonymes dans le cortège, mais pour que le soleil la voie payer un tribut de conscience,
r le lit ; elle se promet de les revêtir en masse au lever du soleil, pour que la ville ait changé de couleur pendant cette tris
ouveraine avec la royauté ; nous faisions des vœux d’honnête jeunesse pour que les incitations du parti militaire d’alors ne par
s. Comment cela ? Est-ce lui ou vous qui avez changé, nous dira-t-on, pour que ces antipathies devinssent des tendresses ? Un pe
re, qui doivent combattre pour elle dans l’esprit des peuples ; mais, pour que ces idées se naturalisent dans l’esprit de ces pe
es de laurier de famille est le seul trophée de leur pauvre cercueil. Pour que le monde se passionne sur votre tombe, il faut av
ophisme et le mensonge convenus des gouvernements ou des oppositions, pour que ses vers servent d’armes offensives ou défensives
èvres, le demi-mot plus incisif que le gros mot, le sens qui s’arrête pour que la malignité l’achève ; l’injure qui ne dit pas t
’arrête pour que la malignité l’achève ; l’injure qui ne dit pas tout pour que le peuple, en la complétant lui-même, devienne, p
hante des noëls, et il a inventé le vaudeville, deux funestes augures pour qu’ il chante jamais des stances héroïques ou des barc
29 (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIVe entretien. Épopée. Homère. — L’Odyssée » pp. 445-524
ans une écuelle au maître du château pour la répandre sous ses pas et pour qu’ il remplît à son tour l’écuelle vide de petites mo
feu caché dans les éléments ; il ne s’agit que de frapper le caillou pour que la flamme jaillisse ; il ne s’agit que de toucher
r que la flamme jaillisse ; il ne s’agit que de toucher juste le cœur pour que la poésie en découle à grandes ondes comme le sen
aiguière d’or, verse l’eau qu’elle contient dans un bassin d’argent, pour que Télémaque et son hôte y lavent leurs mains. Elle
jà rusé comme son père, feint de gourmander respectueusement sa mère, pour qu’ elle rentre dans sa chambre. « Laissez chanter ce
N’est-ce pas ainsi que vous voyez ici le bouvier ranger le tombereau pour qu’ il tienne moins de place dans les cours, dit-elle,
’ordonner qu’on me prépare un chariot magnifique aux roues arrondies, pour que j’aille laver dans le fleuve les beaux vêtements
a porte de la cuisine et déposer sa besace à deux poches sur le banc, pour que le cuisinier Joseph la remplisse des croûtes du p
leure mon malheureux maître, et qui engraisse avec soin ses troupeaux pour qu’ ils soient mangés par des étrangers ? Lui, pendant
plus mère que Pénélope ! Ah ! c’est ainsi que l’Odyssée doit être lue pour que tout son charme coule des lèvres dans l’intellige
cette race divine. Il y a trop de grandeur et d’infini dans son œuvre pour qu’ il soit un homme ; il y a trop de nature, de sensi
il soit un homme ; il y a trop de nature, de sensibilité et de larmes pour qu’ il soit un dieu ! Il est Homère, c’est assez ! Je
30 (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Corneille. Le Cid(suite et fin.)  »
ut d’un coup s’exprime en roi. Le vieux don Diègue est, au contraire, pour qu’ on accorde le duel, comme on l’a fait tant de fois
rde le duel, comme on l’a fait tant de fois en pareille rencontre, et pour que Rodrigue soit traité sans aucun égard personnel,
ngt-quatre heures s’y oppose. On n’a juste que le temps de se battre, pour que la pièce finisse avant que l’horloge ait sonné la
tre plus combattue en son cœur qu’elle ne l’est. Elle implore le Ciel pour que le duel, engagé à l’heure présente, se termine sa
coup, l’a mondanisé et popularisé : il ne fallait pas moins que cela pour qu’ il sortît de sa péninsule. On l’a remarqué avec ra
pour le Don Juan : il fallait qu’il passât par l’imitation de Molière pour que Mozart ensuite le mît en musique et qu’il devînt
31 (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XVIII. Lacordaire »
osophie, s’y est enfin suffisamment décrassé dans les idées modernes, pour qu’ il n’en reste rien absolument sur l’académicien, r
our de la tête pâle de Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais il le voile, pour qu’ on aperçoive mieux combien cette tête est humainem
our qu’on aperçoive mieux combien cette tête est humainement belle et pour que ceux qui sourient du nimbe soient touchés au moin
angue est plus saine. Elle se place assez heureusement sur ses lèvres pour qu’ elle y paraisse plus ferme, plus pure, plus ailée,
32 (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Madame Ackermann »
d de couverture comme un livre utilitaire et tiré à cent exemplaires, pour que le gros public, le Jocrisse aux trois cent mille
hée peut être intrépide à bon marché et ne pas trembler. Et, de fait, pour qu’ il chantât comme le voici qui chante, il fallait l
de son athéisme, n’était encore qu’une larve roulant dans son chaos. Pour qu’ il s’accomplît, ce lion monstrueux, pour qu’il s’a
e roulant dans son chaos. Pour qu’il s’accomplît, ce lion monstrueux, pour qu’ il s’articulât et se mît sur pattes, il fallait le
33 (1896) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Sixième série « La Tolérance »
ssons nos fronts, comme Renan voulait élargir celui de Pallas-Athéné, pour qu’ elle conçût divers genres de beauté. Cherchons ce
aire que pour rentrer aussitôt dans l’éternelle nuit, arrangeons-nous pour que ce passage ne nous soit pas trop douloureux, ou p
angeons-nous pour que ce passage ne nous soit pas trop douloureux, ou pour qu’ il ne le soit qu’au plus petit nombre possible d’e
34 (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 372-383
ne, renferme des conseils trop sages & trop utiles à la Jeunesse, pour qu’ on puisse nous savoir mauvais gré d’en présenter i
s jours ont assez dégénéré de l’ancienne candeur de cette Chevalerie, pour que la fausseté, la perfidie même, déguisées sous le
s la fin de votre carriere, puissent-ils vous voir paru assez utiles, pour que vous les transmettiez à vos enfans » !   *. M.
35 (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IX. Seconde partie. Nouvelles preuves que la société a été imposée à l’homme » pp. 243-267
état de domesticité. La société est la condition nécessaire à l’homme pour qu’ il devienne père. J’ai besoin de dire que cette re
r le lui faire éviter, ou parmi les flots d’une multitude insouciante pour qu’ il reçoive le pain de l’aumône que tu partageras a
but fixé par l’œil de l’homme. Cette communication trop merveilleuse pour qu’ on puisse l’expliquer est un de ces mystères profo
our la liberté de l’homme ; il a fallu qu’il fût possible de la nier, pour qu’ il y eût du mérite à y croire, car la croyance ou
e volonté toute-puissante qui n’a eu besoin que de s’exercer une fois pour que les choses existassent toujours.
36 (1860) Ceci n’est pas un livre « À M. Henri Tolra » pp. 1-4
oderne est un enfant : il faut lui couper ses romans par feuilletons, pour qu’ il consente à prendre sa nourriture intellectuelle
t-garde et le cent-garde au chasseur de Vincennes. Il y a des chances pour que , dans ces conditions, les hommes se marchent mutu
37 (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — CHAPITRE VII »
ns à son amant un signe d’existence ; elle l’avertirait de l’épreuve, pour qu’ il pût éviter son piège. Les grandes passions n’ob
fade fait pressentir l’orage. L’amour de Paul est trop lymphatique : pour qu’ il vive, et pour qu’il résiste, il faut qu’il ne s
r l’orage. L’amour de Paul est trop lymphatique : pour qu’il vive, et pour qu’ il résiste, il faut qu’il ne soit pas attaqué. On
Paul a le vertige d’une possession : c’est à faire venir l’exorciste. Pour qu’ il se repente, pour qu’il demande grâce, il faut q
possession : c’est à faire venir l’exorciste. Pour qu’il se repente, pour qu’ il demande grâce, il faut que Léa noblement afflig
de traîner en longueur un semblant de cour qu’il est censé lui faire pour qu’ il ait le temps de s’amuser à Paris. Si elle l’évi
38 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « III — La rentrée dans l’ordre »
été dressé par la main de l’homme contre le sacerdoce catholique. Et pour que des résultats directs s’en laissent apercevoir, i
que ces peu scrupuleux industriels. Il atrophie, déforme et paralyse, pour que ses élèves soient en mesure de capter le monde, n
elligence ni l’instinct ne vivent plus en lui d’une vie assez accusée pour qu’ on ait dans l’ordinaire à en redouter quelque écla
acerdotale catholique. Il faut que notre propre cerveau soit atteint, pour que nous allions jusqu’à confondre supériorité avec d
écervelés est un fait qui ne pourra pas ne pas leur paraître étrange. Pour que les siècles passés et en partie le nôtre, ait pu
r, dès lors que l’humanité chrétienne ait salué en lui le surhumain ? Pour qu’ à notre tour, nous ne voyons en lui que l’anti-hum
39 (1884) Cours de philosophie fait au Lycée de Sens en 1883-1884
e point de vue par conséquent, la passion peut et doit être utilisée. Pour que l’activité soit vraiment productrice, il faut qu’
roduise une modification du moi. Tout phénomène est une connaissance. Pour qu’ il y ait connaissance, il faut qu’il y ait quelque
autres ou contre la plage. Nous n’entendons que le bruit total. Mais pour que ce résultat se produise, il faut que le moi ait s
t l’unité, l’identité, la causalité, est ce qu’on nomme une personne. Pour qu’ un être soit une personne il faut d’abord, c’est é
n dehors d’une relation, sans comparer la chose pensée à autre chose. Pour qu’ il y ait connaissance, il faut au moins deux idées
ineure n’est rien autre chose que le principe de causalité. En effet, pour qu’ on ait le droit d’admettre d’une manière générale
multiplicité donnée par l’expérience, l’activité donnée par l’esprit. Pour qu’ il y ait pensée, il faut qu’il y ait une différenc
est absolument impossible de la vérifier expérimentalement. En effet, pour que cette démonstration fut possible, il faudrait que
t qu’il en soit ainsi, la connaissance devient absolument impossible. Pour qu’ il y ait connaissance, Spencer le reconnaît, il fa
’intégrer ne sera pas déjà développée, la pensée ne pourra naître. Or pour que les jugements rationnels se forment, il faut déjà
es. Cette faculté n’agit jamais au hasard. Il y a toujours une raison pour que deux idées s’appellent. On cite souvent à ce prop
r ces trois parties. Prenons d’abord le phénomène de la reproduction. Pour qu’ un état de conscience passé se reproduise, il faut
souvient n’est donc pas le même que le je qui a vu. Il faut pourtant, pour qu’ il y ait souvenir, que ces deux mois n’en fassent
ans une sorte de synthèse entre le présent et le passé ; il faut donc pour qu’ il y ait souvenir que le moi soit identique. C’est
que celles d’une perception. Cette ressemblance peut être assez vive pour que l’esprit s’y trompe. Mais la mémoire imaginative
écution ou l’action. Tels sont les cinq moments de l’acte volontaire. Pour qu’ un acte mérite ce nom, il faut qu’il passe par ces
llèle, sera aussi soumise à ce même déterminisme. Ainsi, par exemple, pour qu’ une volition ou acte de la volonté se produise, ce
terminée : mais si j’en mettais un troisième en l’enfonçant après peu pour qu’ il ne maintient pas la planche à lui seul, elle de
is cette espèce de définition ne convient qu’aux choses assez simples pour que l’esprit puisse les posséder toutes entières, aux
c toujours précédé d’un même phénomène B. C’est une forte présomption pour que B soit la cause de A. Ainsi, quand il y a cristal
nous croyons la nature immuable. Cette croyance est indéniable. Mais pour qu’ elle puisse servir de fondement à l’induction, il
on suppose le principe de causalité : le cercle vicieux est flagrant. Pour que les lois aient cette valeur universelle sans laqu
pliqué à ce qui se passe devant lui sans s’en laisser distraire. Mais pour que l’observation soit fructueuse, il faut encore que
l faut qu’il se réduise autant que possible au rôle de témoin fidèle. Pour qu’ il ne sorte pas de ce rôle, il doit se montrer imp
d’ailleurs, pour éviter l’erreur, il y a des règles qui la dirigent. Pour qu’ elle soit bonne, il faut qu’elle présente les cara
urer : (a) qu’autrui ne se trompe pas ; (b) qu’il ne nous trompe pas. Pour qu’ autrui ne se trompe pas, il faut d’abord qu’il ait
a point d’autorité en histoire, pas plus qu’un philosophe en hygiène. Pour qu’ autrui ne nous trompe pas, il faut qu’il n’ait pas
d a soutenu qu’il était dû à une révélation divine. En effet, dit-il, pour que l’homme ait pu créer un système de signes, il aur
ulières. Il n’y a pas de raison de croire que non. Je vois un objet : pour que je le pense, il suffit qu’il ne soit pas en contr
perpétuité. Quelles sont les conditions de la Responsabilité morale ? Pour que je puisse être tenu de rendre compte d’une action
l a beau ne pas l’avoir fait librement, il est bon qu’il en soit puni pour qu’ il se corrige, et qu’il soit récompensé dans le ca
pour qu’il se corrige, et qu’il soit récompensé dans le cas contraire pour qu’ il se maintienne en bon état moral. Un méchant est
art que nous étions toujours responsables de nos actions. Que faut-il pour que le moi d’aujourd’hui puisse avoir à rendre compte
litarisme. Nous avons expliqué quelles conditions sont nécessaires pour que nous soyons responsables, et responsables à perpé
yons responsables, et responsables à perpétuité, de nos actions. Mais pour que la Responsabilité soit tout entière expliquée, il
quelle est cette autorité dont nous nous reconnaissons justiciables. Pour que nous soyons responsables, il faut qu’il y ait une
us de nous conformer, et qui mesure le degré de notre responsabilité. Pour que nous soyons justiciables, il faut que nous le soy
le plaisir ne peut être le fondement d’une loi obligatoire. En effet pour que la loi soit obligatoire, il faut qu’elle puisse ê
ment à laquelle il ne soit qu’un moyen. » Aussi Kant estime-t-il que pour qu’ une action soit morale, il ne suffit pas qu’elle s
une disposition, une sorte de tempérament spécial de la volonté. Mais pour qu’ il y ait vertu, faut-il que la loi morale soit res
des conséquences devant lesquelles le sens commun recule avec raison. Pour qu’ il y ait vertu, il faudrait que la matière de la l
à laquelle nous ne pouvons nous exposer. Il n’est donc pas nécessaire pour qu’ il y ait vertu, que la matière de la loi morale so
aura été rendue. Ces deux conditions sont suffisantes et nécessaires pour qu’ il y ait bonne volonté et vertu. Mais faut-il écar
crainte d’être immoraux. Si nous avons une intelligence, ce n’est pas pour que nous restions stationnaires, mais pour que nous l
intelligence, ce n’est pas pour que nous restions stationnaires, mais pour que nous l’employons en nous rapprochant de plus en p
peu que possible. Ainsi Rousseau fait-il élever Émile loin des villes pour que sa nature se développe en toute liberté. La premi
ent le gouvernement. Ce gouvernement est armé de différents pouvoirs. Pour que ces pouvoirs ne soient pas dangereux, il faut qu’
té. Un état de guerre se constitue. En effet, il n’est pas nécessaire pour qu’ il y ait guerre qu’une nation marche contre une au
: ce serait contradictoire. En effet, pourquoi voulons-nous l’aider ? Pour qu’ il réalise sa fin, sa personnalité. Mais en l’aida
de notre temps ont décrit en trop beaux vers ce sentiment de l’infini pour qu’ il nous soit nécessaire d’y insister longuement. O
anctions temporelles de la loi morale n’est suffisant pris isolément. Pour que la démonstration fût complète, il faudrait démont
es de causes et d’effets comme convergeant vers une fin chacune. Mais pour que l’unité réclamée par l’esprit soit réalisée dans
omplète des diverses parties du corps, et quelle probabilité y a-t-il pour qu’ en tirant 29 lettres au hasard, on amène le premie
e le premier vers de l’Iliade ? La probabilité est encore moins forte pour que le monde actuel si bien ordonné se soit formé et
et subsiste par le seul hasard. On peut répondre qu’il y a une raison pour que parmi toutes les combinaisons possibles, celle qu
s’est pas contenté de créer le monde, mais qu’il a disposé les choses pour qu’ elles fussent le meilleur possible. La Providence
bien moral ; celui-ci ne peut exister que si nous sommes libres. Mais pour qu’ il y ait liberté, il faut que nous puissions faire
e de telle sorte que nous jouions bien notre rôle de moyens dociles : pour que nous nous laissons faire, il nous trompe, il nous
40 (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XVIII. Pourquoi la nation française était-elle la nation de l’Europe qui avait le plus de grâce, de goût et de gaieté » pp. 366-378
u goût et de la délicatesse dans le choix des faveurs et des favoris, pour que l’on n’aperçût ni le commencement, ni les limites
ue la classe la plus élevée. Lorsque le gouvernement est assez modéré pour qu’ on n’ait rien de cruel à en redouter, assez arbitr
modéré pour qu’on n’ait rien de cruel à en redouter, assez arbitraire pour que toutes les jouissances du pouvoir et de la fortun
41 (1773) Essai sur les éloges « Chapitre premier. De la louange et de l’amour de la gloire. »
qu’il faisait des rois. Il se précipitait sur les champs de bataille, pour que les poètes, les musiciens et les ouvriers d’Athèn
mment la sienne. Il y a des hommes qui se vantent de la mépriser ; et pour qu’ on n’en doute pas, ils le répètent : c’est une rai
tourmente et fatigue l’imagination. Il faut qu’elle soit vue de loin pour qu’ elle en impose ; elle ressemble à ces divinités de
42 (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXIXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 129-192
ient construits de blocs de marbre noir aussi lourds que nos rochers, pour que les condamnés à mort qu’on y abandonnait seuls av
contant cela sans pleurer, me dit qu’une seule chose lui coûtait trop pour qu’ il pût jamais se résigner à mourir sans désespoir
r le moine, avait eu le soin de ne pas s’approcher non plus trop près pour que nous ne nous jetassions pas follement, en nous re
us voudrez, avant l’heure où l’on apporte la soupe aux prisonniers et pour que vous puissiez voir du moins celle à laquelle la p
us disait-il les mains jointes, pressez-le de faire ce qu’il a promis pour que je vive en paix mes derniers jours, et que je n’e
il ne tienne plus en place que par un fil, et laisser la lime à côté, pour qu’ un coup ou deux de lime lui permette de le faire t
t, et tu reviendras dans son cachot, avant le jour, prendre sa place, pour que les sbires te mènent au supplice, en croyant que
ieu du supplice, tu mourras en prononçant son nom, heureuse de mourir pour qu’ il vive ! Voilà, monsieur, voilà exactement ce que
43 (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre V : Règles relatives à l’explication des faits sociaux »
l que nous le jugeons utile. C’est une force qui a sa nature propre ; pour que cette nature soit suscitée ou altérée, il ne suff
de la division du travail social en montrant qu’ils sont nécessaires pour que l’homme puisse se maintenir dans les nouvelles co
ême il fallait que la division du travail eût déjà commencé d’exister pour que l’utilité en fût aperçue et que le besoin s’en fi
la détermination de la fonction, elle ne laisse pas d’être nécessaire pour que l’explication du phénomène soit complète. En effe
re le point de départ et le point d’arrivée devient trop considérable pour que l’esprit humain, s’il entreprenait de le parcouri
on dans la vie collective, et dans celle-ci plutôt que dans celle-là. Pour que la question pût se poser, il faudrait donc remont
its réalisés expriment assez complètement la nature de cette tendance pour qu’ on puisse préjuger le terme auquel elle aspire d’a
n’y a qu’à laisser les forces individuelles se développer en liberté pour qu’ elles s’organisent socialement. Ni l’une ni l’autr
44 (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre IV. L’antinomie dans l’activité volontaire » pp. 89-108
lus cultivés que chez nous. Les besoins de la vie y sont trop réduits pour que la pauvreté y soit dure à supporter. Le pauvre d’
ée, une teinte commune, une même coloration sentimentale. Cela suffit pour que le moi se reconnaisse, pour qu’il se différencie
coloration sentimentale. Cela suffit pour que le moi se reconnaisse, pour qu’ il se différencie du voisin, pour qu’il s’oppose a
pour que le moi se reconnaisse, pour qu’il se différencie du voisin, pour qu’ il s’oppose au nous. Ni Stirner, ni M. Le Dantec d
45 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. de Lacretelle » pp. 341-357
ue, et l’éditeur, qui fait son métier, envoie le livre à la Critique, pour qu’ elle le mette en lumière au moment même où cette s
oute bête, un de ces éclairs sur lesquels le premier venu s’affourche pour qu’ on le voie mieux. Mais, après ces huit jours de ta
çait spirituellement de la sculpter… autrement qu’il ne l’a sculptée, pour que tout le monde la reconnût !… Sans nul doute, Lama
le de petits ouvriers d’un jour se sont mis présentement à travailler pour qu’ il restât sur eux un peu de la limaille d’or de ce
46 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Gaston Boissier » pp. 33-50
le dans ses pages et dont la gracieuse modération m’est trop suspecte pour que je ne veuille pas la pénétrer. Je veux même, si v
’avait besoin que d’être racontée, depuis saint Paul jusqu’à Bossuet, pour que ceux qui n’étaient pas chrétiens le devinssent, —
plus haut de Sénèque comme d’un chrétien anticipé, et que saint Paul, pour qu’ il le fût, n’avait pas besoin de convertir ; — de
gmenter. Il fallait Dieu pour l’en tirer ! Dieu descendit du ciel, et pour qu’ on le vît mieux par le repoussoir de cet épouvanta
47 (1926) L’esprit contre la raison
toujours par éclaterq, là-bas, plus loin que l’horizon et l’habitude. Pour que ne pût jaillir aucun geyser, le sol lui-même fut
re et c’est assez pour lever un peu le terrible interdit, assez aussi pour que je m’abandonne à elle sans crainte de me tromper.
enfin bouleversé la réalité, l’homme n’aura plus qu’à fermer les yeux pour que s’ouvrent les portes du merveilleux. »az Une foi
est bien commode, mais l’expression même trop lourde de sous-entendus pour que ne s’éveille point notre méfiance. Le pittoresque
. Mais s’il fallait les malheureux accidents énumérés par Paul Valéry pour qu’ une civilisation, selon ses propres termes, apprît
omme, dur doit être le noyau d’injustice, d’indignité à devenir libre pour qu’ il ait si aisément consenti à se laisser enfermer
, comme le remarque Aragon dans Une vague de rêves bk : « Il fallait, pour que l’idée de surréalité affleurât la conscience huma
Or, s’il n’est guère consolant qu’il ait fallu attendre si longtemps pour que l’idée de surréalité, selon l’expression de Louis
le chat qui joue avec la souris, mais la souris qui joue avec le chat pour que le chat la griffe, la tue, la mange. » Les surréa
ccordé à la réalité, qui est sienne, n’aura plus qu’à fermer les yeux pour que s’ouvrent les portes du merveilleux. » Éluard pro
48 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Mézeray. — I. » pp. 195-212
du premier juge. Cette coïncidence m’a frappé, et je me suis dit que pour que deux esprits sérieux, appliqués, travaillant en c
tions catholiques, l’autre à Alais dans la communion protestante, que pour que ces deux esprits, ayant fait chacun de Mézeray un
uvre aussi pénible et d’aussi longue haleine que sa grande Histoire : pour que cette noble ambition le saisît, il fallait que sa
dans le libre accès aux sources et à toutes les chartes et archives, pour que les faits généraux qui se rapportent à cette prem
apportent à cette première et à cette seconde race fussent éclaircis, pour que la société féodale fût bien connue, et que l’hist
49 (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Une monarchie en décadence, déboires de la cour d’Espagne sous le règne de Charles II, Par le marquis de Villars »
multiplier autour de la personne royale les barrières de l’étiquette, pour que rien d’étranger ni de contraire à ses desseins n’
t aussi tant qu’on put contre l’ambassadeur de France, M. de Villars, pour qu’ elle se méfiât de ses conseils. Il y eut même, dès
lieu à un village près de là. La cabale avait même arrangé les choses pour que le mariage se célébrât à ce pauvre petit village
jeune reine me paraissant fort aise de me voir. Je fis ce que je pus pour qu’ elle ne le témoignât que de bonne sorte. Le roi a
beaucoup. Il y a de petits filets d’eau par-ci par-là, mais pas assez pour qu’ on en puisse arroser des sables menus, qui s’élève
50 (1868) Les philosophes classiques du XIXe siècle en France « Chapitre XIII : De la méthode »
ur emploi. Si quelqu’une manque, l’animal ne peut plus mâcher. Ainsi, pour que l’animal mâche, il faut qu’elles soient comme ell
t. Même remarque, si vous considérez l’action d’avaler et de digérer. Pour qu’ elle se fasse, il faut que les organes soient comm
ou la déglutition manquent, l’animal ne peut plus se nourrir. Ainsi, pour que la nutrition se fasse, il faut que l’animal puiss
mouvement de destruction et de rénovation qui est la vie cesse. Donc, pour que la vie subsiste, il faut que toutes les opération
sans cesse ? Il faut que ces opérations se fassent. Il y a nécessité  pour que ces opérations se fassent. Force est que ces opér
51 (1889) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Quatrième série « Grosclaude. »
Waflard collaborassent à un grand nombre de vaudevilles, tout exprès pour qu’ un lecteur malade de Francisque Sarcey pût être qu
être qualifié de « blafard (et Fulgence) » ? que le tabac fût inventé pour qu’ un reporter demandât à une vieille locomotive : « 
fumez ? » — et que le mépris s’exprimât par le monosyllabe « zut ! » pour que Grosclaude inventât une faute d’orthographe, les
52 (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Avellaneda »
t plus de Pyrénées. L’Europe lut le roman espagnol et fut ravie. Mais pour que rien ne manquât à la renommée de ce pauvre et cha
on aime, et M. de Lavigne a tout cela. La traduction est trop réussie pour que , malgré ses qualités de critique pénétrantes et r
mond de Lavigne n’aura ressuscité ce livre, qu’il croit immortel, que pour que la postérité qui l’avait condamné ratifie sa sent
53 (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XIII. Éloges donnés aux empereurs, depuis Auguste jusqu’à Trajan. »
lui composa des hymnes, et allait tous les matins encenser son image, pour que l’odeur de l’encens parvînt au Capitole, à cet au
it digne d’un pareil frère. Ensuite on l’avertit qu’il est trop grand pour qu’ il lui soit permis de pleurer. Rien de bas, rien d
et pour nos derniers neveux25 ! » Et ensuite une prière à la fortune, pour qu’ elle veuille bien permettre « qu’un si grand emper
54 (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre premier. Les caractères généraux et les idées générales. » pp. 249-295
c’est-à-dire une ressemblance très petite entre deux données, suffit pour que le nom attribué à la première soit appliqué à la
l crée leur sens, et qu’il faut une série de rectifications continues pour que le sens qu’il leur attribue coïncide avec le sens
e atmosphère tombe, et tombe vers le centre de notre planète. — Mais, pour qu’ un corps tombe, il n’est pas nécessaire qu’il soit
re idée a été construite pour elle-même. — Et cependant il y a chance pour que la construction mentale coïncide avec quelque con
point de vue l’expérience nous fournit tous les matériaux nécessaires pour que nous puissions isoler les deux idées élémentaires
la matière réelle est inerte, indifférente au repos et au mouvement. Pour qu’ un corps en repos se meuve, il faut l’intervention
us ou moins grande pour lui imprimer la même vitesse. — D’autre part, pour qu’ un corps en mouvement s’arrête, ou change sa vites
physicien viendra plus tard remplir. — Trois conditions sont requises pour que ces moules aient chance de convenir aux choses. I
ur donnons soit aussi simple que possible ; car il y a plus de chance pour que nous la retrouvions dans la nature, puisqu’il suf
55 (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Victor Hugo »
ceci, toute miette est du génie. On vous dose prudemment la lecture, pour que vous ne mouriez pas tout d’un coup de plaisir et
léchie de sa pensée, ont été trop radicalement refusées à Victor Hugo pour qu’ il puisse faire jamais de la critique. Il trouble
lièrement lamentable ‘ il a fallu attendre jusqu’à ces derniers temps pour qu’ un protestant — Roscoe — eût un doute sur ces mons
protestant — Roscoe — eût un doute sur ces monstruosités fabuleuses, pour que le doux Audin, qui n’était pas un prêtre, mais un
rêtre, mais un laïque, s’inscrivît hardiment en faux contre elles, et pour que Rohrbacher, qui n’y croyait pas et qui les discut
e pape, en sort complètement justifié. Or, Borgia, — qui l’ignore ? —  pour qu’ on crût à la culpabilité du Nabuchodonosor qui dev
première partie de cette histoire, je l’ai dit, a été envoyée à Hugo pour qu’ il pût s’en servir, s’il en fait une, dans sa préf
que de détail avec un homme qui, comme l’auteur, est assez haut placé pour qu’ on lui fasse l’honneur d’une critique qui relève p
56 (1917) Les diverses familles spirituelles de la France « Chapitre vii »
sser une France plus belle et une famille plus riche en mérites. Mais pour que tout soit clair et solide à la base de notre desc
son père :‌ Rien n’est désespéré quand la sève est là ! Prions Dieu pour qu’ elle reste toujours bien saine, la sève de la fami
e qualité noble, ce souci de construire sa vie comme une œuvre d’art, pour qu’ elle soit féconde. Joseph Hudault, toutefois, ne c
t, une étude, son reliquaire. Mais aujourd’hui, laissons-les en bloc, pour qu’ ils tombent avec tout leur poids sur nos cœurs.‌ T
qui furent donnés à la France tout brûlants des vertus qu’il fallait pour qu’ elle fût sauvée. Ils virent venir la tempête que l
nés, en grand nombre, niaient. De toute leur jeune voix, ils ont crié pour qu’ on s’y préparât ; ils pressentaient qu’elle les je
n’ont que faire que je les commente. Je les pose à même sur le papier pour qu’ ils jettent librement leurs feux.‌ Nous repartons
57 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préface des « Derniers Jours d’un condamné » (1832) »
jurys, toutes les justices. Ce livre est adressé à quiconque juge. Et pour que le plaidoyer soit aussi vaste que la cause, il a
qu’il n’y a pas en France assez d’air à respirer pour tout le monde ? Pour qu’ un jour un misérable commis de la chancellerie, à
omme de vingt ans, monte sur l’échafaud, dit au patient de se tourner pour qu’ il le délie, et, profitant de la posture du mouran
strueux ! C’est donc une chose bien redoutable qu’un condamné à mort, pour que la société le prenne en traître de cette façon !
de mort ? Nous faisons cette question sérieusement ; nous la faisons pour qu’ on y réponde ; nous la faisons aux criminalistes,
mps est un des ingrédients qui doivent entrer dans une pareille œuvre pour qu’ elle soit bien faite. Nous comptons développer ail
58 (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Correspondance de Béranger, recueillie par M. Paul Boiteau. »
lle, l’un à droite, l’autre à gauche, et il y a encore assez d’espace pour que beaucoup se perdent tout à fait, sans compter ceu
c tout ce qu’on savait du chantre de Lisette, lui fait trop d’honneur pour que , si quelque témoignage, particulier en existe dan
, il en est ainsi de nous autres écrivains. Employez donc votre encre pour qu’ elle ne se répande pas sur tout votre être. Écrive
ranger, moins encore à titre d’administré que d’ami. Il est trop tard pour que j’en profite ; mais je fais des vœux pour que des
d’ami. Il est trop tard pour que j’en profite ; mais je fais des vœux pour que des témoignages si précieux de confiance et de bi
59 (1867) Nouveaux lundis. Tome VIII « Marie-Antoinette (suite et fin.) »
, et lorsqu’il offrait sa démission le jour même, le roi dut insister pour qu’ il restât à son poste ; la reine, qui pour la prem
piété, dans sa confiance absolue en Dieu. Tout d’abord je dois dire, pour qu’ il n’y ait pas à se méprendre sur les éloges si du
u soir, il a été décidé que l’on porterait au roi l’arrêté du 4 août, pour qu’ il y campât sa sanction. » Les journées des 5 et 6
is à peu près la seule qui vît juste dans ce moment. Rappelle-le-lui, pour qu’ il prenne confiance en ce que je te mande, qui est
« Nous sortons tous d’un sang trop noble, écrit-elle à M. de Mercy, pour qu’ aucun de nous puisse soupçonner l’autre d’une tell
60 (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « IX. Mémoires de Saint-Simon » pp. 213-237
nèrent assez de jouissances inattendues à l’imagination contemporaine pour qu’ elle ressentit soudainement l’amour d’un livre qui
un livre qui faisait si largement immerger la vie dans l’histoire, et pour qu’ elle désirât ardemment connaître l’ensemble et l’e
stinction, plus cruelle à l’orgueil que les distinctions nobiliaires, pour que le talent, le talent seul d’un incomparable écriv
Louis XVI égaré lâchât, philosophiquement la clavette révolutionnaire pour que la France de Louis XIV se précipitât… Certes, c’é
a mort, — cette épouvantable justicière de Dieu, — le renversa dessus pour qu’ il ne pût pas en descendre. Mais ici, en cet endr
61 (1874) Premiers lundis. Tome II « Jouffroy. Cours de philosophie moderne — II »
l’autre vie comme n’étant pas de ce monde. Il faudrait donc admettre, pour que les inductions que la psychologie prétend tirer d
en est mieux connue ; car, on le sait, une des conditions principales pour que ces accidents se produisent, c’est qu’on en ignor
vera plus. Dans le cas présent d’ailleurs, il est une raison profonde pour que l’inspiration soit dégagée de toutes ces appariti
qui sera désormais la plus importante affaire de la vie. C’était donc pour que l’humanité eût un jour le loisir de s’observer et
62 (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des pièces de théâtre — Préface du « Roi s’amuse » (1832) »
est une propriété violemment dérobée au théâtre et à l’auteur. Enfin, pour que tout soit net et clair, pour que les quatre ou ci
bée au théâtre et à l’auteur. Enfin, pour que tout soit net et clair, pour que les quatre ou cinq grands principes sociaux que l
se a coulés en bronze restent intacts sur leurs piédestaux de granit, pour qu’ on ne puisse attaquer sournoisement le droit commu
lus sanglante des injures. Il n’est que trop vrai que ce vers a suffi pour que l’affiche déconcertée du Théâtre-Français reçut l
63 (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XXVI. La sœur Emmerich »
ue Dieu s’en mêle, par voie extraordinaire et par grâce surnaturelle, pour qu’ une femme, en génie, vaille un homme… Dans l’ordre
u s’avise, en plus, d’être le saint, oh ! alors, la raison est double pour qu’ il n’ait plus de prise du tout sur l’imagination h
gloire humaine, et profond d’intention religieuse, est-ce une raison pour que nous, les critiques mondains, nous soyons dispens
ans cette pauvre religieuse à névrose, et de rappeler, — mais non pas pour qu’ il s’en corrige, — l’aimable accueil que, de toute
64 (1898) L’esprit nouveau dans la vie artistique, sociale et religieuse « II — Se connaître »
trop assuré, son passé trop imposant, sa renommée trop retentissante pour qu’ elle conçoive une inquiétude sérieuse. Son admirat
ive une inquiétude sérieuse. Son admiration d’elle-même est trop vive pour qu’ elle s’abandonne au souci vulgaire de s’examiner :
de puériles exagérations. Il faut que la réalité soit bien écrasante pour qu’ elle ait pu un instant dominer l’intense sentiment
l faut lui supposer une conformation particulière de son être intime, pour qu’ il puisse concilier le sentiment de sa faiblesse e
65 (1875) Premiers lundis. Tome III « Profession de foi »
tion constante de sa direction et de ses travaux, une raison profonde pour qu’ il ait suivi la marche qu’il a suivie, pour qu’il
x, une raison profonde pour qu’il ait suivi la marche qu’il a suivie, pour qu’ il ait passé par ses transformations diverses, et
l a suivie, pour qu’il ait passé par ses transformations diverses, et pour qu’ il soit aujourd’hui aux mains dans lesquelles il e
66 (1912) L’art de lire « Chapitre VI. Les écrivains obscurs »
 : à quelle hauteur ou à quelle profondeur faut-il que soit cet homme pour que je ne le distingue plus. Et je sens que, quelque
contre de très grandes difficultés, contre de redoutables obstacles, pour qu’ elle n’augmente point et pour que, en augmentant,
és, contre de redoutables obstacles, pour qu’elle n’augmente point et pour que , en augmentant, elle ne vous mène très bas. Vous
67 (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre XI. Troisième partie. Conséquences de l’émancipation de la pensée dans la sphère des idées politiques. » pp. 350-362
pour preuves ou pour conditions d’événements importants. Il fallait, pour que Troie fût prise, que le Palladium fût enlevé, que
e Rhésus fussent dérobés, Un oracle condamne Énée à manger ses tables pour qu’ il parvienne à fonder un empire en Italie. Les poè
t au malheur ; car le malheur est une chose trop morale et trop utile pour qu’ il nous soit ôté. Ah ! si vous pouviez supprimer l
68 (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Madame Sand »
i de douter que la spéculation soit heureuse. Dans ce dernier cas, et pour qu’ elle le fût, il aurait fallu publier d’un seul cou
esprit dans le bonnet de nuit de sa Correspondance ! Il faut, à elle, pour qu’ on puisse seulement la regarder, que sa toilette s
civilisation mortelle souvent au génie, mais elle en avait assez peu pour que cette civilisation lui fût généreuse… Dès son déb
69 (1891) Politiques et moralistes du dix-neuvième siècle. Première série
ées, qu’un minimum, toujours diminué, de gouvernement. La démocratie, pour que rien ne soit commandé par quelqu’un, ce qui const
é. Si les hommes étaient tous semblables, tous ayant mêmes droits (et pour qu’ ils eussent mêmes droits il faudrait qu’ils eussen
drait qu’ils eussent même intelligence), tous ayant mêmes devoirs (et pour qu’ ils eussent devoirs égaux, il faudrait qu’ils euss
comme vous le croyez ; ce n’est pas chez moi le respect de vos droits pour que vous respectiez les miens ; ce n’est pas dans cha
pas dans chaque classe de la nation un sacrifice fait à la communauté pour qu’ à chaque classe il en revienne un avantage. Le pat
, de limiter, de surveiller et de suspendre périodiquement le pouvoir pour qu’ il n’empiète point, c’est-à-dire de pouvoir toujou
aristocratique « elle-même, telle que nous venons de l’exposer, que, pour qu’ on puisse être aristocrate, il faut qu’il y ait de
lles reversent dans la circulation générale, et ainsi indéfiniment. —  Pour que ce jeu soit facile et souple, il est très vrai qu
est un meurtre insuffisamment volontaire ; ce n’est pas le sang versé pour qu’ il le soit. Le sacrifice, c’est le meurtre idéal,
finement, si l’on veut, de la même idée. Qu’un innocent soit sacrifié pour que la loi du meurtre ne risque point de languir parm
table loi d’injustice, qui est une des formes du mal sur la terre, et pour que la guerre fût, et pour que le sang coulât. Cela,
est une des formes du mal sur la terre, et pour que la guerre fût, et pour que le sang coulât. Cela, c’est l’ordre humain. Mais
ns le Français un animal d’une autre espèce qu’il ne songe qu’à tuer, pour que la loi du meurtre, s’étendant depuis le dernier z
oit comme participant à Dieu, comme communiant dans la pensée divine, pour qu’ il y ait au moins une image de l’ordre divin réali
l composés. Cette méthode exige que le but soit perpétuellement voilé pour qu’ on s’en croie très loin quand on y touche, et que
llectif. Les Grecs aimaient à penser individuellement. C’en est assez pour que de Maistre les déteste. Il leur conteste leur gén
il lui suffisait de ne pas vouloir, un instant, que son sang circule, pour que la circulation s’arrête, comme il lui suffit de v
les fermer, une colère enfantine ou un dépit de jeunesse serait assez pour qu’ un suicide, acte irrévocable, se produisît. De là
les lois nécessaires, et non point les lois nécessaires à tel peuple pour qu’ il dure un peu plus qu’il ne durerait sans elles,
de matière à pensée qu’il faut jeter dans la mécanique intellectuelle pour qu’ elle ne tourne pas absolument à vide, c’est lui qu
e lui refusons pas notre admiration, et même il faudrait peu de chose pour que nous prissions au jeu, en ne le tenant que pour u
s obéissons en le formant aux lois éternelles du langage ; il le faut pour que nous soyons compris ; c’est encore ceux dont nous
t il compromet encore son idée en en abusant. Est-il bien nécessaire, pour que l’idée de création ne soit pas entamée, que le Cr
i qu’elle en soit le terme. Dès que vous êtes noble, n’acquérez plus, pour qu’ il soit bien établi que vous n’avez acquis que pou
cquis que pour être noble. Le but atteint, que le moyen soit méprisé, pour que l’acquisition de la richesse ne paraisse pas être
tive. — Je vois des Etats généraux : je les régularise, ne fût-ce que pour qu’ on ne passe point deux siècles sans les convoquer,
s’éclairent bien l’un l’autre. On voudrait qu’ils eussent même génie pour que la question fût également pénétrée de clartés en
e plus impitoyable que de dire : « Des milliers d’hommes ont souffert pour que le dernier soit heureux. » Qu’on ne dise point qu
ses : il suffit qu’elle espère qu’il en sera de moins en moins ainsi, pour que non seulement elle persiste en ses idées de progr
e révolution, on rédige une phrase nouvelle qui sert à tout le monde, pour que chacun ait de l’esprit et du sentiment tout faits
riche et participant aux charges nationales, mais demeurant autonome pour qu’ il ne devînt pas aussitôt ultramontain, royauté li
Constant est égalitaire sans être démocrate. Il veut les hommes égaux pour qu’ aucun n’impose sa volonté à un autre, mais non pas
mmes égaux pour qu’aucun n’impose sa volonté à un autre, mais non pas pour que tous imposent leur volonté à chacun ; car ceci en
mandent une mise à la masse commune plus forte qu’il n’est nécessaire pour que la communauté subsiste. — Celles-ci même, si elle
n’a voulu voir que le droit de l’homme, et il a déclaré l’homme sacré pour qu’ il fût libre ; et pour assurer son affranchissemen
ît la base, parce qu’étant hétérogène, et seul de sa nature, il faut, pour qu’ il se conserve, que tout se plie à lui, se groupe
Maintenant j’ai assez indiqué ce qu’il a eu le tort de ne point faire pour qu’ il soit temps de dire ce qu’il a fait. Il a fait,
de toute restriction… Les sots font de leur morale une masse compacte pour qu’ elle se mêle le moins possible avec leurs actions,
e leur pensée et d’avoir une pensée assez pure aussi et désintéressée pour qu’ ils en vivent. Quand je fais une citation de Joube
tat, donc, où la royauté soit un droit, et ne soit pas le seul droit, pour qu’ il y ait des droits pour d’autres ; — soit un pouv
ts pour d’autres ; — soit un pouvoir, et ne soit pas le seul pouvoir, pour qu’ on puisse être puissant au-dessous d’elle, sans la
, diverses et séparées les puissances dont l’accord serait nécessaire pour qu’ elle fût faite. La loi, selon la charte, n’est poi
ssances. Tout pouvoir vient d’elle et n’est que par elle, précisément pour que personne dans le pays ne soit puissant de par soi
le faire ; et ils n’auront sans doute pas tort ; — mais c’est surtout pour qu’ il soit bien marqué qu’on n’est pas électeur de pa
destinée ; en raison, même sens et même esprit. L’une et l’autre sont pour que là où il y aurait la force, ou une aventure, il y
il y aurait la force, ou une aventure, il y ait un droit. Légitimité, pour qu’ un avènement ne soit pas un accident et un règne u
ènement ne soit pas un accident et un règne une circonstance. Charte, pour que la loi ne soit pas un coup de force, une pesée du
t : « Les libertés sont des résistances. » — Il doit y avoir liberté, pour qu’ il n’y ait pas souveraineté ; c’est toute sa pensé
voulu deux chambres, très différentes de nature et d’origine, d’abord pour que jamais l’une ne pût, en l’absence de toute force
oins, et aussi dangereuse, et plus encore, qu’un roi-Etat ; — ensuite pour que la loi faite par deux assemblées différentes et r
sonne ne gouverne, pas même tout le monde. C’est la loi qui gouverne. Pour qu’ elle existe, l’Etat vous charge d’élire des législ
e enfin, et cette conviction qu’il ne faut qu’un peu do bonne volonté pour que les plus grands désaccords intellectuels soient r
plus : elle préside. — La classe moyenne, elle, peut ne pas exister. Pour qu’ elle soit, il faut que la fortune se soit dissémin
lus l’opinion, ce qui est son office, que le peuple ne peut la faire. Pour que cette diffusion des lumières existe et soit suffi
nication constante. Enfin, ce qui n’est pas moins important, il faut, pour que la classe moyenne existe, qu’elle se sente telle,
nt. — Il faut toutes ces conditions, ou la plupart de ces conditions, pour qu’ une classe moyenne existe efficacement et pour qu’
de ces conditions, pour qu’une classe moyenne existe efficacement et pour qu’ un gouvernement d’opinion s’établisse et dure. C’e
 ; c’est la souveraineté de la raison. La raison doit être souveraine pour qu’ il n’y ait pas une volonté, ou unique, ou multiple
ont dans le pays en un état de bouillonnement et d’effervescence, et, pour que la tradition soit maintenue ou renouée, ont besoi
grave inconvénient. Il convient donc que l’État donne l’enseignement, pour que l’enseignement ne soit pas œuvre de parti, et de
l’autre s’appliquant à les lui faire très simples et un peu communes, pour qu’ elles fussent pratiques. — Hétérogène, elle manqua
70 (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XXII. L’affichage moderne » pp. 283-287
seconde : The Chap Book. Sérieusement il n’est aucune raison valable pour que l’œuvre de Lautrec ne s’applique pas à la publica
ublication américaine, et celle de Bradley à la revue parisienne ; ou pour que l’une ou l’autre d’entre elles ne notifie le tapi
71 (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre VII. Objections à l’étude scientifique d’une œuvre littéraire » pp. 81-83
es matériaux qu’il doit mettre en œuvre ; c’est une raison suffisante pour qu’ on lui recommande d’être prudent ; ce n’en est pas
isante pour qu’on lui recommande d’être prudent ; ce n’en est pas une pour qu’ on lui dénie le pouvoir d’élever un édifice qui ré
72 (1909) Les œuvres et les hommes. Philosophes et écrivains religieux et politiques. XXV « L’abbé Noirot »
aine de la vérité était exclusivement à eux. On a assez vu, du reste, pour qu’ on veuille et même pour qu’on puisse le revoir, ce
lusivement à eux. On a assez vu, du reste, pour qu’on veuille et même pour qu’ on puisse le revoir, ce qu’ils ont fait de ce doma
73 (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Le Christianisme en Chine, en Tartarie et au Thibet »
comme des châteaux de cartes, au contact du plus misérable événement. Pour que toujours, à toute époque, les choses se soient pa
humaine pendant des milliers d’années dans des doctrines de perdition pour qu’ elle se courbe, au premier mot, sous le signe sacr
qu’elle se courbe, au premier mot, sous le signe sacré du baptême, et pour que la lumière de la vérité y pénètre tout à coup dan
74 (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Roederer. — I. » pp. 325-345
pas le seul à avoir ce qu’on peut appeler sa période de Rousseau, et pour qu’ on voie aussi à quel degré primitif de chaleur mûr
l’emporter elle-même avec sa Constitution et ses lois : tellement que pour que la partie salutaire et juste de ces lois pût s’ap
lu ses premiers décrets ; Roederer résista : Je soutins, dit-il, que pour que la Constitution répondît au titre qu’on lui avait
dît au titre qu’on lui avait donné de Constitution représentative, et pour que ce titre ne fût pas une imposture, il fallait que
je sais, c’est qu’il suffit que l’abbé Sieyès et vous soyez d’un avis pour que je sois sûr, même sans examen, que l’on peut honn
75 (1911) La morale de l’ironie « Chapitre II. Le rôle de la morale » pp. 28-80
r librement d’aucun bien si les autres ont la liberté de me le ravir. Pour que la liberté pût être généralisée, pour qu’elle n’i
la liberté de me le ravir. Pour que la liberté pût être généralisée, pour qu’ elle n’impliquât pas forcément, comme l’envers sup
’entre nous, s’est assez affranchie de l’instinct, assez différenciée pour que ceux-là puissent comprendre, encore qu’un peu con
eurs de la vie sociale, tant qu’elle n’est pas suffisamment organisée pour que chaque élément y fasse spontanément son office. E
nnels. Il est juste, il est naturel que la société dise à l’homme : «  Pour que la vie commune soit possible et bonne, il faut ag
e sens notre conduite. » Et l’instinct social est assez fort en nous, pour que cette raison, proclamée ou vaguement sentie, entr
lte du sens moral ». Quand l’instinct social exalte l’individu, c’est pour que celui-ci lutte contre la société actuelle et vien
peu de préjugés. L’influence de l’esprit social est par trop évidente pour que j’insiste, dans toutes les morales qui se fondent
76 (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Le président Jeannin. — I. » pp. 131-146
ûreté de son jugement surtout, aient éclaté d’une façon bien notable, pour qu’ après deux ans à peine il ait été choisi par les é
constances qui le flattaient et l’entraînaient. Il était assez faible pour que le moindre succès l’enflât, pour qu’un secours pr
raînaient. Il était assez faible pour que le moindre succès l’enflât, pour qu’ un secours promis par l’Espagne le rendît moins tr
is par l’Espagne le rendît moins traitable ; il avait assez d’honneur pour qu’ une défaite éprouvée le piquât au jeu et lui parut
77 (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « (Chroniqueurs parisiens III) Henri Rochefort »
révolution sociale, à faire tout, sous prétexte que le monde va mal, pour qu’ il aille plus mal encore, il faut qu’il soit bien
ce n’est pas nécessairement de la comédie. Il y a de grandes chances pour que M. Rochefort soit à peu près persuadé de ce qu’il
age. Et ces plaisirs doivent être d’une espèce assez rare et délicate pour qu’ il soit fort éloigné d’y renoncer jamais. Je ne sa
vait mieux faire que de quitter son titre : c’était le meilleur moyen pour qu’ on l’en fît continuellement souvenir. On le lui ra
78 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
ée en grâce près de la reine. Nous ne tarderons pas à voir si c’était pour que ma prétendue pénitente fût dédommagée d’un sacrif
que ma prétendue pénitente fût dédommagée d’un sacrifice héroïque, ou pour qu’ elle fût en position de continuer son ancienne vie
de Montespan, et déjà il avait fait parvenir ses ordres à Versailles, pour qu’ elle s’y trouvât au moment où il y arriverait. « B
sa ces paroles accablantes : Ne me dîtes rien ; j’ai donné mes ordres pour qu’ on prépare au château un logement pour madame de M
79 (1908) Les œuvres et les hommes XXIV. Voyageurs et romanciers « Saint-Marc Girardin »
assé. Mais ce qu’on cherche et ce qu’on désire, ce qui est nécessaire pour que la littérature d’un peuple se soutienne, pour que
qui est nécessaire pour que la littérature d’un peuple se soutienne, pour que son niveau intellectuel ne s’abaisse pas, c’est l
80 (1900) Taine et Renan. Pages perdues recueillies et commentées par Victor Giraud « Taine — V »
vre de M. Taine ; elle éveille des idées trop nombreuses, trop graves pour que je me dispense de leur donner les formules conven
Vous voyez comment il faudrait très légèrement transformer la phrase pour qu’ un de ces grands individus, que Taine traite de fo
81 (1883) Souvenirs d’enfance et de jeunesse « Chapitre VI. Premiers pas hors de Saint-Sulpice  (1882) »
t que les questions sociales et philosophiques soient bien difficiles pour que nous ne les ayons pas résolues dans notre effort
u monde ; il faut qu’il ait un tuteur. Or notre monde est assez vaste pour que toute place à prendre soit prise ; tout emploi cr
ivos, pueri ; sat prata biberunt. Il me reste trop de choses à faire pour que je m’amuse désormais à un jeu que plusieurs taxer
plus d’une fois témoigné de l’amitié, était trop entouré de disciples pour que j’essayasse de percer cette foule un peu liée à l
mener un terne ou un quaterne ne sont rien auprès de ce qu’il a fallu pour que la combinaison dont je touche les fruits ne fût p
fois, lors de la mort de ma sœur, elle m’a, à la lettre, chloroformé pour que je ne fusse pas témoin d’un spectacle qui eût peu
82 (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « M. Jules Girard » pp. 327-340
la critique très profonde, doublée de biographie très éclairée, mais pour qu’ il en fût ainsi, il faudrait une indépendance d’es
— Mais parce qu’il est cela, — incontestablement, — est-ce une raison pour que la Critique n’ose pas mesurer son niveau et porte
ui et fût toute neuve dans la gloire ?… C’est une raison au contraire pour qu’ elle l’ose, car, le difficile, voilà ce qui tente
83 (1888) Les œuvres et les hommes. Les Historiens. X. « M. Félix Rocquain » pp. 229-242
nts de publicité se trémoussant comiquement autour du moindre article pour qu’ on leur en fasse la charité, un écrivain qui publi
et je connais assez de gens de talent dont on ne dit pas un seul mot pour que ce que j’écris là puisse l’offenser. Seulement, l
r aller à toutes ces fontaines, qui nous coulent trop dans les jambes pour que , si on se baisse un peu, elles ne soient à portée
84 (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Mademoiselle de Condé »
s Élus. Je crois trop aux miracles de la Grâce divine toute-puissante pour que la sainteté, la hauteur et la profondeur de la sa
nais trop aussi l’argile dont est fait le cœur dans la nature humaine pour que , moi qui crois si absolument à l’amour de Dieu, j
eur, ressemble à une glace sans tain qui serait mise sur le cœur à nu pour qu’ on le vît mieux palpiter, à travers le cristal des
85 (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « L’abbé Brispot »
omme dans la vie individuelle. C’est là une grande raison, il semble, pour que la vérité, qui ne change point, la vérité immorte
eau où l’on croyait l’avoir éteinte. Il n’y a qu’à élever le flambeau pour qu’ on l’aperçoive rayonner. Toujours présente dans un
l fallait que le sens public fût aussi profondément perdu qu’il l’est pour qu’ on laissât passer de si honteuses extravagances sa
86 (1914) Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne pp. 59-331
, il fallait tout cela, il fallait l’opération de cette greffe unique pour que l’unique inquiétude judaïque devînt l’unique inqu
l’unique inquiétude judaïque devînt l’unique inquiétude chrétienne et pour que la royale sagesse et la royale tristesse du roi S
pu greffer l’inquiétude juive dans le corps chrétien. Il fallait cela pour que la dévoration de cette inquiétude, atténuée dans
le corps chrétien. Il fallait cela aussi, il fallait doublement cela pour que fût produit un Pascal, pour que fussent obtenus c
ela aussi, il fallait doublement cela pour que fût produit un Pascal, pour que fussent obtenus ce puits de détresse, ce désert d
abdications de la condition même de l’homme. Des platitudes calculées pour que le destin passe par-dessus, ne pouvant nulle part
rise. Des mornes et des sourds et des sournois nivellements pratiqués pour que Dieu même porte à faux. Des envasements égalitair
porte à faux. Des envasements égalitaires, des enlisements démocrates pour que nul ne dépasse, pour que rien ne dépasse dans per
ents égalitaires, des enlisements démocrates pour que nul ne dépasse, pour que rien ne dépasse dans personne et qu’ainsi le sort
uillature), la première. Elle n’est pas plus avancée que la première. Pour que la physique de la quantité, du poids, du volume,
a première. Pour que la physique de la quantité, du poids, du volume, pour que l’hydrostatique joue, il faut que la première gou
ois de causalité physique, parce que le peu d’accrochement qu’il faut pour que la cause ait son effet, pour que l’effet s’accroc
que le peu d’accrochement qu’il faut pour que la cause ait son effet, pour que l’effet s’accroche à la cause, pour que la cause
r que la cause ait son effet, pour que l’effet s’accroche à la cause, pour que la cause accroche l’effet, pour que la cause en u
ue l’effet s’accroche à la cause, pour que la cause accroche l’effet, pour que la cause en un mot ait effet sur l’effet, parce q
re, de la mémoire, de l’habitude, du vieillissement, du durcissement, pour que fût aussi éclairée et pénétrée cette liaison prof
int Louis. Il ne fallut que l’espace et l’intervalle d’une génération pour que de la tige de saint Louis poussât ce rejeton mode
tion pour que de la tige de saint Louis poussât ce rejeton moderne et pour que la race de saint Louis devint la race de Philippe
pour que la race de saint Louis devint la race de Philippe le Bel et pour que les fils de saint Louis, comme disait cet aumônie
u. Ni l’homme. Ni la foi ; ni la grâce ; ni Dieu. Nul ne sera diminué pour que les autres paraissent plus grands. Tout le monde
deux termes de la comparaison soit digne de l’autre. Et il faut cela pour que le combat lui-même, pour que la comparaison elle-
n soit digne de l’autre. Et il faut cela pour que le combat lui-même, pour que la comparaison elle-même soit digne de Dieu qui r
e, et ce système de totale loyauté qui est ce même dont nous parlons. Pour que la comparaison ne soit pas truquée, pour que la d
même dont nous parlons. Pour que la comparaison ne soit pas truquée, pour que la difficulté ne soit pas frauduleusement éludée,
s truquée, pour que la difficulté ne soit pas frauduleusement éludée, pour que le problème demeure et soit présenté dans son exa
de Sévère. Ni du système de pensée, ni du système de mesure. Dès lors pour que Sévère emporte ce point d’inquiétude et ce point
t ce point de mémoire, ce point d’inhabitude et ce point de scandale, pour qu’ il soit atteint au moins de cette atteinte, pour q
oint de scandale, pour qu’il soit atteint au moins de cette atteinte, pour qu’ il soit touché au moins en ce point il ne suffit p
faut que Polyeucte gagne. Car Sévère ne comprend pas l’autre jeu. Et pour qu’ il se rende compte que Polyeucte gagne et que Poly
e plus beau), c’est peut-être ces soins infinis que prend saint Louis pour que ce soudan d’Égypte ait une haute idée de ce que c
eût point été intégrale et loyale. Et il faut toujours en revenir là. Pour que l’incarnation fût pleine et entière, pour qu’elle
toujours en revenir là. Pour que l’incarnation fût pleine et entière, pour qu’ elle fût loyale, pour qu’elle ne fût ni restreinte
our que l’incarnation fût pleine et entière, pour qu’elle fût loyale, pour qu’ elle ne fût ni restreinte ni frauduleuse il fallai
rogé, traqué. Tel est l’un des aspects du mystère de l’incarnation.   Pour que Jésus fût homme, il fallait que sa mémoire même e
us transportons arbitrairement, frauduleusement à cet instant d’après pour que le présent étant devenu un passé, le plus récent
nt il ferait autrement. Mais en même temps il veut être dans un futur pour que son présent soit passé. Quand il est passé, on e
ffi aussi, par là même il a suffi qu’un certain mécanisme fût démonté pour que tout cet immense appareil s’écroulât. Il n’y fall
suffit qu’une idée ait été rendue indéfendable, une fois pour toutes, pour qu’ on n’en entende plus parler. C’est alors au contra
87 (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. J. J. AMPÈRE. » pp. 358-386
ux, ne répondraient pas. Tant de richesse riante n’est pas nécessaire pour que l’esprit poétique dont je parle, et qui s’est ref
plutôt à l’époque d’Auguste. Il y a une raison historique et logique pour que ç’ait été ainsi. La renaissance classique du xvie
bien, en définitive, que quelque chose triomphe, il y a aussi chance pour que ce soit quelque folie. Or, tandis que l’historien
it quelque part que tel Gaulois ou tel Français a écrit quelque chose pour qu’ on lui accorde un rang dans la liste et qu’on en f
des matériaux, l’asservissement de l’idée et du goût sous la lettre. Pour que l’esprit le plus éminent qui y ait participé, M.
88 (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « Les poètes décadents » pp. 63-99
cadent n’auront que l’art pour critérium ; ils sont trop indépendants pour que des souvenirs hostiles ou amis puissent influer s
pour la mémoire de son ami, m’avait prié d’intervenir auprès de Baju pour qu’ il s’en abstînt désormais, ce qui n’empêcha pas ce
le succès souhaité et quelque tapage s’ensuivit. Je fus assez heureux pour que le nom de mon cher ami Mallarmé, déjà si honorabl
dent le plus pur, idoines, dirait Tailhade, « à exaspérer le Mufle ». Pour que la supercherie se couvrît d’une apparence d’authe
olligés — du paradisiaque Rimbaud. « À ces correspondants timorés et pour que de leurs Intellects, où jamais le Rêve n’outrecui
89 (1900) Poètes d’aujourd’hui et poésie de demain (Mercure de France) pp. 321-350
la contrepartie des fables ironiques et dédaigneuses où il résumait, pour qu’ on en rit, tout ce qui cherche à détourner l’homme
te absolus des poèmes de Mallarmé. Les objections sont trop courantes pour que j’y insiste. La plupart tombent d’elles-mêmes apr
is Jammes. C’est donc vers la Vie qu’ils ramèneront la Muse, non plus pour qu’ elle la rêve, mais pour qu’elle la vive. Au lieu d
la Vie qu’ils ramèneront la Muse, non plus pour qu’elle la rêve, mais pour qu’ elle la vive. Au lieu de présenter à ses oreilles
le murmure d’une mer idéale, ils l’assoieront au bord des flots mêmes pour qu’ elle en écoute la rumeur et qu’elle y mêle sa voix
90 (1919) L’énergie spirituelle. Essais et conférences « Chapitre IV. Le rêve »
retien silencieux. Phénomène étrange, et pourtant facile à expliquer. Pour que nous entendions des sons en rêve, il faut général
ors on illumine l’inscription pendant un temps très court, trop court pour que l’observateur puisse apercevoir toutes les lettre
effort. Ce qui exige de l’effort, c’est la précision de l’ajustement. Pour qu’ un aboiement de chien décroche dans notre mémoire,
souvenir d’un grondement d’assemblée, nous n’avons rien à faire. Mais pour qu’ il y aille rejoindre, de préférence à tous les aut
à tous les autres souvenirs, le souvenir d’un aboiement de chien, et pour qu’ il puisse dès lors être interprété, c’est-à-dire e
91 (1906) Les idées égalitaires. Étude sociologique « Deuxième partie — Chapitre I. La quantité des unités sociales : nombre, densité, mobilité »
tribuer un jour à la décroissance de la population, est-ce une raison pour que l’accroissement de la population ne contribue pas
tés n’est efficace que par le rapprochement de leurs unités. Il faut, pour que leur nombre puisse influer sur les idées sociales
ple même78. Dès que le cercle des républiques s’élargit, il faudrait, pour que tous les membres du souverain continuassent à exe
dus agglomérés dans les vastes groupements modernes serait une raison pour que chacun d’eux se sentit porté à se poser comme « f
le de franchir les bornes des milieux sociaux les plus étroits ; mais pour que l’idée conçue, de personnelle, devienne collectiv
92 (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre V. Histoire littéraire. » pp. 212-219
as propre peut-être à tirer le commun des lecteurs de leur ignorance. Pour qu’ il eût produit cet effet, il auroit fallu traiter
voulu fournir leur article ; de-là des omissions & des erreurs. Pour que les mémoires qui concernent les écrivains morts d
93 (1928) Les droits de l’écrivain dans la société contemporaine
s me font penser à ces parents, précautionneux comme des avares, qui, pour que leurs enfants n’attrapent pas froid dans la rue,
pensée pure entrent en conflit avec des intérêts moraux ou matériels, pour qu’ aussitôt ils faussent le sens de tout le débat. Il
les habitants d’une ville aient un avantage à ne pas faire un détour pour que l’on perce une rue et que l’on n’hésite pas à cha
ille ou non, un ouvrier comme les autres, il n’y a plus aucune raison pour qu’ il n’ait pas les mêmes droits que le paysan, le pl
droits d’auteur de leurs parents. Il a fallu attendre une loi de 1854 pour que cette durée soit portée à trente ans ; en 1866, p
loi de 1854 pour que cette durée soit portée à trente ans ; en 1866, pour qu’ elle atteigne, comme aujourd’hui, cinquante ans. C
ement un capital comme un autre. Bien plus ! Il a fallu attendre 1902 pour que « les architectes et les statuaires », les « scul
général des types de vêtements19. Ainsi il a fallu plusieurs siècles pour que des droits abstraits puissent se transmettre aux
ncore quelques siècles, si la société capitaliste est amenée à durer, pour que l’œuvre d’art ou de pensée soit définitivement as
mmes de pensée doit l’être également. Il n’y a pas de raison dès lors pour qu’ au bout de cinquante ans, les droits d’auteur revi
partie à l’Etat au lieu de passer aux éditeurs ; il n’y a aucun motif pour que l’Etat dépossède les familles des grands artistes
ut que la pensée ait par elle-même une puissance presque irrésistible pour qu’ elle ait triomphé en partie des préjugés et de la
e, mon cher confrère, j’ai répondu trop longuement aux deux premières pour que je puisse l’aborder, car elle est délicate. Agrée
94 (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre quatrième. Les conditions physiques des événements moraux — Chapitre premier. Les fonctions des centres nerveux » pp. 239-315
versité des rhythmes d’impulsion. — Dispositions anatomiques requises pour que les cellules puissent communiquer. — Indices four
tractés dans l’ordre suivant ; 1, 3, 6, 7, 8, 11, 12, 14, 12, 14, 15. Pour que chacun de ces muscles ait pu jouer séparément, il
mais encore que ce nerf moteur soit animé par une cellule distincte. Pour que les divers nerfs moteurs aient joué dans l’ordre
il faut que leurs cellules respectives aient joué dans le même ordre. Pour qu’ elles puissent jouer dans cet ordre, il faut que,
filets nerveux, elles communiquent entre elles dans l’ordre indiqué. Pour qu’ elles aient joué dans cet ordre, il faut qu’un cou
. Plus de trente paires de muscles doivent agir dans un certain ordre pour que l’enfant puisse téter, et l’on a vu qu’un nouveau
y ait un nombre assez grand de cellules et de nerfs intercellulaires pour que plusieurs dizaines de combinaisons distinctes et
e recommencer et cèdent leur place à d’autres recrues toutes fraîches pour que la figure puisse être exécutée de nouveau. Voilà,
açon dont ces cellules doivent être disposées et reliées entre elles, pour que les combinaisons de sensations primaires ou secon
image. — Examinons maintenant quel mécanisme physiologique est requis pour que les images aient les propriétés qu’on leur a reco
t et directement en danse. Pour cela, il faut qu’elles communiquent ; pour qu’ elles communiquent, il leur faut un filet nerveux
, aucun des courants cérébraux ne l’atteindra ; il faudra un accident pour qu’ une de ses cellules entre en danse. Mais, si elle
95 (1860) Cours familier de littérature. X « LVIe entretien. L’Arioste (2e partie) » pp. 81-160
brisait trop souvent sous la main capricieuse de l’Homère de Ferrare pour que l’intérêt, constamment réveillé, constamment étei
lui dois d’affection et de reconnaissance. « Je suis décidé à aller, pour qu’ il ne reste pas sans sépulture, le chercher et le
trouver le corps de son roi, adresse une invocation ardente à la lune pour qu’ elle lui découvre enfin le cadavre. La lune l’exau
tant de jeunesse, de vie et de beauté dans les hôtesses de ce palais, pour qu’ un tel séjour n’assombrît pas notre société de pla
eur arrête le sang et rend la vie à Médor. « Il reprit assez de force pour qu’ elle pût le faire monter sur la jument du berger ;
na et de sa fille. Et c’est ainsi qu’il faut lire les poètes, à deux, pour qu’ un écho du cœur se répercute sur un autre cœur, et
s, à deux, pour qu’un écho du cœur se répercute sur un autre cœur, et pour qu’ une impression soit en même temps un souvenir. La
te limite du devoir, mais à qui il n’a manqué qu’un vice, l’ambition, pour qu’ on le plaçât parmi les grands génies. Nos ennemis
96 (1865) Nouveaux lundis. Tome III « M. de Pontmartin. Les Jeudis de Madame Charbonneau » pp. 35-55
ues habitués, ou plutôt il lit dans un manuscrit apporté tout exprès, pour qu’ on n’en ignore, la suite de ses prétendues mésaven
uiné, un libraire de Londres lui offrit je ne sais combien de guinées pour qu’ il écrivît ses Mémoires et qu’il y dit une partie
ettres riche. M. de Pontmartin nous a assez étalé son état de fortune pour que nous sachions qu’il ne pouvait faillir par les mê
ontmartin est meilleur juge de sa situation que nous ; il en dit trop pour qu’ il n’y ait pas du vrai dans ses doléances, et il s
97 (1895) Histoire de la littérature française « Troisième partie. Le seizième siècle — Livre IV. Guerres civiles conflits d’idées et de passions (1562-1594) — Chapitre 2. La littérature militante »
on pas l’éloquence religieuse : car il fallut que l’apaisement se fit pour que la prédication catholique acquît cette solidité e
non comme le courtisan pour livrer l’État au bon plaisir du roi, mais pour que le roi fit du bien public son bien, il voulut for
leront réveiller l’éloquence politique : ils seront trop vite apaisés pour qu’ elle ait le temps de renouer sa tradition et de pr
e furent pas de pure actualité : assez d’apaisement s’était déjà fait pour que la satire ne put se passer de grâce littéraire, e
98 (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Madame, duchesse d’Orléans. (D’après les Mémoires de Cosnac.) » pp. 305-321
pièges et de ces périls où elle se jouait, Madame n’ait point failli, pour qu’ elle ait pu dire sincèrement à Monsieur, à l’artic
, et redoutant l’effet de ce libelle sur Monsieur, s’adressa à Cosnac pour qu’ il prévînt le prince et allât au-devant de son méc
épêcha en Hollande un homme intelligent, M. Patin, fils de Guy Patin, pour qu’ il vît tous les libraires qui pouvaient avoir le l
e qu’on ne lui refusera rien ; et j’ai pris mes avances auprès de lui pour qu’ il demandât, sans nommer pour qui, un chapeau de c
99 (1912) L’art de lire « Chapitre IV. Les pièces de théâtre »
bout, attentive et anxieuse. Mais pourquoi faut-il qu’Œnone se lève ? Pour que Phèdre se lève elle-même quelques instants après 
n est debout soi-même. Phèdre se lèvera donc tout à l’heure, et c’est pour qu’ elle se lève avec vraisemblance que Racine fait le
choses. « Oui », est une réponse à une parole et non pas à un geste. Pour qu’ Abner dise « oui », il faut que Joad ait parlé. Jo
e théâtre pour venir au-devant d’Abner, doit parler, doit avoir parlé pour qu’ on lui réponde « oui », et, ne provoquant ce « oui
100 (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre II. Marche progressive de l’esprit humain » pp. 41-66
age de la création fût soumis à de longues et paisibles observations, pour qu’ elles servissent ensuite à inspirer les Galilée et
es liens d’une même langue, elle avait pris bien d’autres précautions pour que la Bonne nouvelle fût plus universellement accuei
me. Dieu avait pris soin de les jeter d’avance au sein de la société, pour qu’ elles parussent moins étranges, pour qu’ensuite el
avance au sein de la société, pour qu’elles parussent moins étranges, pour qu’ ensuite elles pussent être défendues contre les at
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